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Quitte et double
Datte: 08/08/2017, Catégories: 2couples, fbi, hotel, Oral double, Partouze / Groupe yeuxbandés,
... s’approcher du lit. Il était en forme lui aussi. Il s’est approché de Blanche pour la prendre dans ses bras et la caresser. Elle a lâché mon sexe. Anaïs a pris le relais et s’est allongée sur moi de tout son poids. Elle me léchait le cou, les tétons. Un moment de tendresse infinie. Puis elle s’est reculée jusqu’à ce que mon gland vienne titiller sa vulve. — Tu veux ? ai-je entendu, avant de sentir mon gland la pénétrer. Elle était pleine du sperme d’un autre, et pourtant je n’ai pas trouvé ça moche. C’était sans doute la dernière fois que je sentais son corps sur le mien et que je pouvais ainsi respirer ses effluves, sentir sa moiteur, l’aimer. J’avais perdu les deux autres de vue mais ça n’a pas duré. Le mec est apparu à nouveau dans le dos d’Anaïs. Elle a passé ses mains derrière elle pour écarter ses fesses.« C’est donc, ça la suite… » me suis-je dit. Elle allait se faire sodomiser. Curieusement, ça m’a excité. Après tout, foutu pour foutu, autant en profiter. Je l’ai serrée contre moi. J’ai senti des mains toucher mes couilles. Anaïs s’est redressée légèrement pour me faire sortir un peu ...
... avant que je sente le sexe du mec se coller au mien. Il a pris nos deux queues pour les guider comme une seule dans la vulve offerte d’Anaïs. Il n’allait pas la sodomiser, mais la pénétrer avec moi. Nous n’avons pas eu besoin de nous parler pour trouver le bon rythme. C’est peut-être Anaïs qui le donnait, d’ailleurs. Nos deux manches rigides devaient la remplir à merveille. En tout cas, je l’ai sentie vibrer comme jamais. Ses cris étaient devenus rauques et continus. Elle a joui comme une folle sur nos queues. Et je me suis laissé aller moi aussi quand j’ai senti le sperme s’écouler du gland du mec. Double ration pour madame. Blanche assistait à la scène depuis le canapé, les cuisses ouvertes, ses doigts savants à l’œuvre. Anaïs, revenue de son extase, m’a regardé dans les yeux. Je me suis reculé pour m’extraire. La colère était revenue, mélangée à un profond dégoût. D’elle, bien sûr, mais de moi-même aussi. Cette partie de jambes en l’air débridée venait de tuer définitivement mon amour pour elle, comme d’ouvrir en moi une folle envie de recommencer. Mais pas avec une fille que j’ai aimée.