Des camarades de classe (12) - Histoires de Sexe

Des camarades de classe (12)

... bracelets de cuir, l’enroula autour de leurs poignets puis accrocha le mousqueton à celui au bout de la corde qui pendait de l’arbre. Cyrille et Philippe entendirent la corde coulisser contre l’écorce et sentirent subitement leurs bras tirés vers le haut. Ils furent ensuite soulevés ; ils parvenaient encore à toucher le sol, mais seulement du bout des pieds. ─ Parfait. On va rester comme ça pour le moment. Cyrille sentit une main lui caresser les fesses, un doigt s’insinuant dans le string qui lui labourait le sillon fessier. Le doigt se dirigea vers sa rondelle et ne rencontra pas de résistance. ─ Oh ! L’entrée est accueillante. Ce jeune homme semble avoir de l’appétit. Cyrille entendit le bruit typique des boucles de ceintures qu’on détache, de Fermetures Éclair qu’on ouvre et de pantalons qui glissent le long des jambes. Verena s’approcha et lui glissa quelques mots à l’oreille : ─ Petit veinard, quatre gendarmes pour ton petit cul… À cet instant, Cyrille sentit deux mains le saisir par les hanches et dans la foulée, une queue s’insinuer entre ses fesses. Une queue tout à fait normale, bien raide, idéale pour commencer le ramonage en série. L’enculeur s’en donnait à cœur-joie. À chaque coup de reins, Cyrille se sentait poussé et tentait de rester en place sur la pointe des pieds. Il était ainsi à la totale merci de l’homme planté dans son cul. Il y allait d’ailleurs vaillamment, le bougre ! Philippe n’était pas en reste. Il sentit des lèvres se refermer autour de sa ...

... verge. Il comprit assez vite que la fellation ne lui était procurée que pour le mettre en forme. Il lui fallait bien ça après la frayeur provoquée par cette histoire de pendaison. Une fois la gaule bien raide, la bouche abandonna son membre et quand il constata qu’elle était remplacée par une chatte, il comprit aussitôt que Verena s’occupait de lui. Il tenta de donner des coups de reins, mais sans appui sur le sol – ou si peu – il ne parvint pas à pénétrer plus profond tandis qu’elle, ne bougeait pas, faisait mine d’attendre sa poussée. Ericka vint se placer derrière lui et, au contact des seins contre son dos, Philippe se douta de la suite. Elle se colla contre lui, le caressa longuement puis l’agrippa par les hanches, lui enfonça lentement sa queue entre les fesses. Quand elle eut pénétré de toute sa longueur, elle s’immobilisa. Philippe était frustré de sentir cette queue inerte en lui et sa propre bite à peine enfoncée dans la chatte de Verena. Elle le fit languir ainsi quelques minutes. Le gendarme se déchainait dans le fondement de Cyrille qui, à chaque coup de boutoir, se sentait soulevé et ne touchait plus le sol. Tant et si bien qu’il se sentait comme une balançoire, en modèle pour adulte. ─ Ah, la garce ! Qu’elle est bonne… lança l’homme avant d’émettre un ultime grognement de satisfaction. Cyrille sentit le foutre gicler en lui. Il sourit en pensant que ce n’était que la première éjaculation et qu’il y en aurait encore d’autres. Quand il laissa la place, le premier ...