1. Des camarades de classe (12)


    Datte: 05/12/2018, Catégories: Trash,

    ... gendarme se dirigea vers Verena qui offrit sa bouche pour nettoyer le membre et lui redonner un peu de vigueur. ─ Félicitations, Jean-Paul, tu as fais du bon boulot. Ça glisse tout seul ! ─ De rien, Hugues. Quand je l’ai enfilé, je n’ai pas trouvé beaucoup de résistance. ─ Je confirme qu’il se donne de la peine pour cela, intervint Verena. Hugues attrapa Cyrille par les cuisses. Il était cette fois complètement suspendu à la branche et le gendarme le faisait ainsi coulisser le long de son mandrin, d’une taille plus respectable que celui du précédent collègue. Cyrille apprécia ce mouvement de pendule sur le chibre. Le rythme était moins soutenu mais le plaisir n’en était que plus intense. Il sentit d’ailleurs sa propre verge prendre de l’ampleur. Philippe se faisait toujours ramoner par Ericka qui prenait son temps, allant et venant sur un rythme lent. Elle ne cherchait pas à éjaculer rapidement, se contentant d’entretenir l’érection du garçon qui, à chaque poussée, se retrouvait projeté dans le con de Verena. S’il préférait sodomiser son ami, il n’en appréciait pas moins la situation, à son plus grand étonnement. Il pensa qu’ils avaient finalement bien choisi leur cible pour foirer leur rapine. Cyrille avait maintenant la queue bandée comme un arc. Il aurait aimé pouvoir se caresser pour décocher une salve de flèches blanches. Tant pis, il finirait bien par jouir et envoyer son sperme en l’air sans même se masturber. Le deuxième gendarme accéléra un peu la cadence, ce qui ...
    ... n’était pas pour déplaire à celui qu’il enculait. À Côté, Ericka continuait nonchalamment de pousser Philippe dans le vagin de Verena. C’était à croire qu’elle entretenait la frustration du garçon. Elle lui décrivait ce que Cyrille subissait, puisqu’il avait toujours le bandeau sur les yeux. À en croire ses réactions, il aurait préféré sodomiser Verena sauvagement, mais il n’avait pas cette liberté là, ni de l’orifice, ni du rythme. L’homme qui s’activait dans le cul de Cyrille, lui, avait le choix et le rythme qu’il imprimait maintenant n’avait rien de nonchalant. S’il avait été jockey, on aurait dit de lui qu’il cravachait dans la dernière ligne droite… Un instant, il fut tenté de masturber cette queue qui n’attendait que ça, mais il se ravisa, préférant tenir fermement le jeune homme par les hanches. Son bas ventre venait cogner à chaque fois contre le cul délicieux dont l’heureux propriétaire frôlait l’extase. Quand Cyrille annonça qu’un missile était engagé sur le pas de tir, Verena se précipita pour accueillir l’ogive dans sa bouche. À chaque poussée du gendarme, elle se retrouvait le nez contre le pubis. Au comble de l’excitation, le jeune travesti ne fut pas long à lâcher prise et envoya d’épaisses giclées de sperme sur la langue de Verena qui trouvait ça foutrement bon. Elle ne chercha aucunement à partager sa récolte et se gargarisa de l’abondante sécrétion. Lorsqu’il éjacula, Cyrille entraîna dans sa chute de reins une réaction en chaîne pourtant bien prévisible. ...