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Aujourd'hui piscine !
Datte: 05/12/2018, Catégories: Anal Humour, Mature,
C’était une fausse bonne idée. On ne devrait jamais partir en vacancesavec sa supposée amie. Ce fut ma fille qui me poussa à cette faute. Elleavait en vue le fils de cette copine. Bref tout ce monde trouva bon departager ensemble le bon soleil du Var. On me trouvera banal d'adorercette région mais j'assume. Il me faut le sea sex and sun et le pays deBrigitte Bardot m'assure cela. J'y ai depuis trente ans mes habitudes. Acet égard j'y ai converti les enfants. La copine et son fils ayant bienvoulu se laisser convaincre. Une location à un bon prix nous accueillit.Dans l'arrière pays elle nous offrait outre la pelouse, une jolie piscine.La copine et moi avions trouvé bon de nous inscrire au plus proche clubde tennis. Là nous avions loisir d'être draguée. Le premier jour, lepatron du lieu s'avisa hâtivement de mon air de salope. Il n’emmenaderechef et au su de tous dans un vestiaire. Nous y demeurâmes unedemi-heure. La copine fut choquée de tant d'impudeur. En bourgeoiseassumée elle tenait à honneur de ménager les convenances. Elleescomptait sûrement se faire sauter plus discrètement. Quant à moi je mesignalais aux autres mâles comme "open".J'affectionnais aussi le bronzage intégral. Je ne pouvais faire celadevant les enfants. Aussi m’accommodais-je de leur absence lorsqu'ilspartaient à la plage avec leurs amis. La copine ne trouvait cela pasmoins impudique d'autant que nous savions peu loin un voisin susceptiblede m'espionner. Il affectait souvent de passer la tondeuse. La ...
... copineboudeuse allait plus loin achever son bouquin. Ainsi avais-je pour moiseule la piscine. Je devinais intuitivement le regard du cochon. Celam'excitait. Ce con était marié. Nous avions sympathisé avec sa vieille.J'aurais volontiers dénoncé à celle-ci que son mec était vicieux.J'imaginais en effet la bite de celui-ci bander sous son gros ventre. Ilbaissait son regard toujours devant moi. Je déteste les types quin'assument pas leur vice. La copine, elle ne lui cachait pas tout sonmépris. Elle ne comprenait pas que je me fis un jeu de l’allumer. Detoute façon sa pruderie lui interdisait de comprendre tous mes fantasmesd'exhibition. L'été pour moi était occasion de me montrer nue. Bref jepassais outre et trouvait rafraîchissant à bronzer au bord de la piscine.Par ailleurs Eric le mignon copain de ma fille n'avait de cesse de mereluquer quand je cuisais dans mon maillot. Ma fille la première s'enplaint. Elle savait ma prédilection pour les jeunes et beaux gosses.Nous eûmes une conversation. Elle trouvait inconvenant qu'à près decinquante ans je cédas encore à ce vice. Tout risquait à s'envenimer. Jefis effort sur moi de me garder de séductions à l'encontre de son chéri.J'avais à peu de temps sucer un gosse de dix-huit ans au club de tennis.Ils s'en trouvait plein pour m’att****r. Je pouvais pour le moinsépargner celui-ci et l'abandonner à ma fille. Il ne s'agissaitd'alimenter notre sourde rivalité.Je crois que c'est tant l'hostilité de ma fille que de ma copine qui memenèrent à ...