1. Aujourd'hui piscine !


    Datte: 05/12/2018, Catégories: Anal Humour, Mature,

    ... encanailler dansun proche village. Au faîte de la soirée tous un peu imbibés noushasardions des sortes de danses frénétiques avec d'improbablescavaliers. Ma fille se trouva aux bras d'un beau black ce qui ne parutémouvoir Éric. Ayant pu m'échapper au main d'un rustre je vins meréfugier un instant près du gendre. J'étais encore indignée que mondanseur se fut autorisé à passer plusieurs fois sa main sous ma robe.Éric pour toute réaction me lança un regard étrange . J’attendais qu'ileût au moins un trait d'humour quant à la situation.La nuit est bien sure propice au vice. Je sentis bientôt sa main sur macuisse. J'aurais pu fort de la récente indignation la repousser et luifaire le sermon. Au contraire sa main chaude me parut comme un signed'apaisement. Je laissais celle-ci suivre son cours. Elle parvint à maculotte. Cette dernière était trempée. J'eus ensuite un gesteincompréhensif. Je me levais et par un signe intimait à Éric de mesuivre. Plus loin derrière une roulotte nous nous enlaçâmes et nousembrassâmes. J'étais prise comme souvent d'une irrépressible envie. Acet instant tout homme m'eût obtenu. Etais-je folle ou salope ?Cependant je crus devoir calmer les ardeurs de mon jeune amant par unepipe. Celle-ci n'en fut pas moins de qualité. Avec ravissement je disaisà Éric : "Mon Dieu t'es bien monté. Ma fille s'est bien gardé de me ledire." Nous partîmes d'un franc éclat de rire. Je consentis à ce qu'iléjaculât dans ma bouche. Étonné il me vit avaler toute une part de ...
    ... sonfoutre. Je lui témoignais ainsi mon désir. Nous nous empressâmes derevenir à nos places. Heureusement ma fille était encore prisonnière dublack. Personne je pense n'avait repéré notre manège. J'eus droit à êtrepelotée encore.Il me fallait trouver une occasion pour être baisée par Éric. Ce petitcoquin trouva lui-même le stratagème. Il prétexta devoir faire unesortie en mer avec un bon ami. Ma fille sujette au mal de mal de merbouda et s'enquit d'aller en centre-ville avec les autres filles. Éricme savait seule bronzer au bord de la piscine. Heureusement ce jour-làmon voisin était absent. Cupidon protège toujours les amants. De toutefaçon j'aurais d'une façon ou d'une autre fait en sorte que je pus êtreseule et disponible. Cette fois je bronzais nue sur la véranda perduedans ma lecture. Je savais mon corps désirable.Ainsi Éric tel qu'il me le relata un an plus tard par mail, me découvritau travers d'un rideau du salon par lequel il était entré. J'étais pourreprendre ses termes, une blonde déesse nue offerte aux ardeurs dusoleil. Celui-ci semblait avec sa langue de feu me léchait chaqueparcelle du corps. Personne n'eût voulu troubler un tableau si intime.Cependant le temps était compté. Il fallait bien que la déesse futsoumise et prise. A son pas je tournais la tête et souris. Mon dieuenfin advenait. Je le laissais de ses baisers me dévorer la peau. Je risqu'il me lécha une partie des fesses.Nous roulâmes sur le sol, langues mêlées. Je voulais avant qu'on fitl'amour que nous ...