1. Aujourd'hui piscine !


    Datte: 05/12/2018, Catégories: Anal Humour, Mature,

    ... faire des bêtises. Non content de me contenter des vicieux etmignons du tennis, je voulus plus loin élargir le périmètre d action.Ainsi trouvais-je bon d'allumer davantage mon voisin. A présent j’allaiscarrément clope au bec le saluer par-dessus le troène qui nous séparait.Il me voyait distinctement le sein. Je savais qu'il avait maté encatimini tout le reste. Je m'installais sur la partie du gazon où ilpouvait sans peine me reluquer. Je me tournais à dessein. recto-versotel un poulet tournant dans sa rôtissoire. Je me gardais de faire celahors les fois où sa dame ne partait au bridge.Je fis en sorte de faire accroire au monsieur que je le trouvaissympathique et que la pudeur n'était pas trop mon fort. Que j’étais unesportive, adepte de naturisme. Bref j'étais une femme libérée et pointtrop offusquée de montrer mon cul. Mon imbécile se résolut à s'enhardir.Il enjamba ledit troène. Je l'invitais ce jour-là sur ma nappe àsavourer un frais Whisky Coca. Il avait un seul short. Il avait du mal àceler qu'il bandait. Je m'en réjouit tâchant à ne regarder à cetendroit. Peu après je vins l'inviter à me passer un peu de crème sur ledos. Je dus insister pour qu'il descendit plus bas. Je frémissaisjusqu'aux extrémités.Au début pataud il s'enhardit le jour suivant jusqu'à s'attarder sur lecul et à y enfoncer enfin un doigt. Il est vrai que nous avions avalé untroisième Cuba libre. N'y tenant plus je me tournais et lui balançais lamain au paquet. La brute bandait. Je crus devoir ...
    ... libérer le pauvre ziziqui n' en pouvait plus. En une seconde son sexe fut dans ma bouche.J'avais trop envie de sucer cet imbécile. J'imaginais d'ici la tête desa grue. Tout cela m'excitant au-delà du possible. En un grognement ilm'enfila. Je luttais peu protestant à peine qu'on put nous voir. Ilobtint en levrette de m'enculer. Sensation si ineffable.En tout et pour tout ce cochon put me sauter une dizaine de fois. Notéque ce temps la copine partait les après-midi au bridge avec la femme demonsieur. Nous avions le champ libre. La copine se doutait bien que nousfîmes des bêtises. Cependant cette débauche ne me suffisait pas. J'étaisintriguée toujours de mon petit Éric. Il était trop mignon et savirilité naissante m’émouvait. Malgré moi je l’allumais. Je lui devinaismaintes érections. Il fallait que ce fut discret à l'égard de ma fille.La perversité décidément l'emportait.S'il n'avait eu un soir un geste d'audace sûrement me serais-jecontentée de ce simple jeu de séduction avec lui. Je n’avais jamaisgoûté un fruit si mignon . Le scrupule et les conventions m'arrêtaient.Au tennis ne manquaient pas les propositions d'autres morveux. Ilsavaient en tête qu une quinqua de mon genre était une salope. Les mâlesqui m'avaient attrapé m’avaient nanti d'une certaine réputation : jesuçais en diable et adorait la sodomie. Tous les petits minets rêvaientde monter en mon train. Il y avait des jours qu'outre le voisin, deuxautres me sautaient.Il se trouva qu'au bal du 14 juillet nous allâmes nous ...