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FICTION PARTIELLE - Je me fais plaisir...
Datte: 06/12/2018, Catégories: En solitaire,
(écrit en 12.2010 grâce aux confidences d’une amie rencontrée en club). Je m’appelle Cassandra. Je suis divorcée depuis quelques années après une erreur de jeunesse qui (poussée par mes parents) m’avait fait épouser un homme de quinze ans mon ainé. Je viens de fêter mes 30 ans, je suis une blonde naturelle (origines scandinaves et normandes), grande avec des seins ronds et de bonne taille dont je suis très fière. J’en prends grand soin, ne les laissant jamais sans soutien. Sous ma taille fine s’évasent mes hanches un peu larges à mon goût. Mes cheveux sont relativement courts car je n’ai guère le temps d’aller chez le coiffeur. Un coup de brosse ou de peigne suffit à les discipliner. Je prends soin de mon corps en faisant du fitness dans la salle de l’entresol de l’immeuble où se trouvent les bureaux de la société pour laquelle je travaille. Cela est très pratique et je peux y aller après le travail car elle ferme à 22 heures. Ma vie professionnelle très enrichissante ne m’a pas permis d’avoir un enfant à l’époque de mon mariage. Qu’en aurais-je fait quand je passe mon temps à sauter d’un avion à l’autre ou dans un train pour parcourir l’Europe. Désormais, je m’offre de temps en temps une séance de baise hygiénique sans lendemain quand je me laisse draguer au bar des hôtels où je descends ou en allant dans un club libertin de l’avenue Foch. Avec toutes les précautions d’usage de notre époque je suis tranquille. Je ne suis pas frustrée, au contraire, je pense être très ...
... équilibrée. Lorsque je suis dans mon appartement au dernier étage d’une tour résidentielle du sud de Paris, je contemple avec bonheur mon petit nid douillet. Rares sont les hommes qui y sont entrés en dehors de mes deux frères lorsqu’ils viennent à Paris. Il y a deux ans, je me suis laissé draguer par une femme de mon âge à la salle de fitness. Notre aventure a duré quelques mois. Je me laissais faire, retrouvant les habitudes de mes années d’internat où je me livrais aux délices du saphisme avec ma copine de chambre qui m’a initiée mais je n’ai jamais été autre chose qu’une passive… Lorsque l’appel des sens devient trop intense, j’ai tout ce qu’il faut pour me satisfaire. Même quand j’étais mariée, j’avais déjà quelques beaux godes pour remplacer mon mari trop souvent absent ou défaillant. Déjà avant de découvrir le saphisme, j’avais pris l’habitude de me caresser jusqu’à la jouissance au moins une fois par semaine et je n’ai jamais cessé. Généralement je me caresse quand je prends mon bain. La salle de bain est décorée de gravures licencieuses où l’on voit des naïades se livrer aux assauts de pâtres à la virilité triomphante. Elles existaient déjà lorsque j’ai acheté l’appartement et je les ai conservées car elles ont été merveilleusement réalisées par un artiste de talent. Noyée jusqu’au menton dans une abondante mousse odorante, je laisse courir mes mains le long de mon corps. Je masse mes seins en pinçant les tétons pour les faire saillir. Ensuite, je descends vers mon pubis ...