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FICTION PARTIELLE - Je me fais plaisir...
Datte: 06/12/2018, Catégories: En solitaire,
... dont j’ai fait éliminer les poils disgracieux il y a bien longtemps. Suivant mon humeur j’utilise le canard vibrant que tout le monde connait ou mes doigts. Je place le canard sur mon clitoris et je le bloque quelques minutes. C’est très excitant de sentir ses vibrations qui se répercutent dans tout mon bassin. Ensuite, j’ouvre mes lèvres vaginales avec deux doigts et je me pénètre le plus profondément possible pour faire des va-et-vient pendant de longues minutes jusqu’à ce que ma jouissance éclate. Parfois aussi, je prolonge la séance sur mon grand lit. Séchée au sortir du bain, je m’allonge nue, le buste calé par des oreillers, les jambes repliées et ouvertes. J’ai a ma disposition plusieurs godes en silicone souple de tailles diverses et d’autres plus rigides et plus « techniques » car pourvus d’un mécanisme vibrant ou d’ergots et autres protubérances censées améliorer les sensations. J’injecte du gel lubrifiant dans les orifices et je commence (ou prolonge) ma séance de masturbation. En premier, je glisse un petit Plug souple dans mon anus et je me caresse la chatte avec un des godes souples. J’utilise d’abord le plus fin pour passer successivement aux deux tailles supérieures. Le plus gros de couleur noire fait 5,5 cm de diamètre, le gland, bien marqué, en forme de champignon et le corps avec des veines dessinées en relief. Généralement, je le fixe avec la ventouse sur l’angle de la baignoire ou sur la table basse du salon. En montant et en descendant sur ce phallus ...
... artificiel je me conduis rapidement à la jouissance. C’est plus long quand je me sers d’un gode motorisé car je n’ai pas les mêmes sensations. Je préfère nettement la souplesse des godes en silicone. Il m’arrive ainsi d’utiliser deux godes souples, un pour chaque orifice. Là, suivant mon excitation du moment, il m’arrive d’obtenir des orgasmes qui me laissent complètement tétanisée pendant de longues minutes après avoir expulsé de ma chatte quelques jets de liquide. C’est comme cela que j’ai découvert que j’étais une « femme fontaine ». Dernièrement alors que j’étais à Berlin pendant une semaine pour mon travail, je suis passée par un des quartiers chauds et je suis entrée dans un sex-shop avant de regagner mon hôtel. J’étais à la recherche d’éventuelles nouveautés et surtout d’un œuf vibrant dont j’avais vu la promotion dans une revue féminine qui signalait qu’il n’était pas encore vendu en France. Je l’ai effectivement trouvé et acheté. Mais ce qui m’a le plus intéressé ce sont trois « machines à baiser » qui m’ont été présentées par une hôtesse. La première ressemblait à un cheval d’arçon très bas ou si on veut, un demi cylindre sur lequel on pouvait s’asseoir de différentes façons. Au centre de l’assise, un dispositif permettait de fixer des sexes factices de différents formats actionnés par un mécanisme interne imitant la pénétration. Il y avait même un e sorte de languette munie de picots en caoutchouc… La profondeur et le rythme de cette dernière pouvaient se régler grâce ...