1. FICTION PARTIELLE - Je me fais plaisir...


    Datte: 06/12/2018, Catégories: En solitaire,

    ... à une commande reliée à l’appareil. On pouvait également l’utiliser comme sellette pour attacher sur le ventre une femme ou un homme, soit pour le fouetter ou prendre à la bonne hauteur grâce à des pieds réglables. Les deux autres étaient plus sommaires mais le principe était le même. Le premier ne pouvait être utilisé que dans la position allongée, le moteur se fixant par une grosse ventouse au pied de lit, le gode situé à l’extrémité d’une tige était mu par un mécanisme à excentrique. L’autre pouvait s’utiliser aussi en position allongée, mais là, il était présenté fixé sous un siège réglable en hauteur et le sexe factice sortait par un orifice placé au centre. Devant mon intérêt pour cet appareil, l’hôtesse me précisa qu’il pouvait servir à la pénétration vaginale ou anale, que l’on pouvait aussi choisir la taille du sexe car l’appareil était vendu avec trois accessoires dont un gode articulé à tête rotative et un stimulateur clitoridien. Elle m’offrit même de l’essayer… Elle me guida vers une grande cabine d’essayage du rayon lingerie où était installé un appareil de démonstration. Elle m’installa. Elle mit un préservatif sur le gode simple le plus fin et elle m’aida à m’asseoir. Pendant toutes ses explications, je m’étais bien excitée et ma chatte était lubrifiée. Tenant la commande dans sa main, elle fit monter le sexe lentement pour que je le sente et me laisse pénétrer. Puis elle accéléra les mouvements. Oulla ! Que c’était bon ! Alternant les pénétrations rapides ou ...
    ... lentes, plus ou moins profondes, elle me conduisait à la jouissance. Pour voir le fonctionnement j’avais remonté ma jupe et j’étais prise par cette machine, les cuisses grandes ouvertes. Pendant tout ce temps la vendeuse caressait sa chatte d’une main par-dessus son pantalon très ajusté sous lequel, visiblement elle ne portait rien tellement les lèvres et son mont de Vénus étaient visibles. De l’autre elle caressait mon pubis. C’était chaud. Heureusement les rideaux de la cabine étaient bien fermés car je ne suis pas trop exhibitionniste. Lorsque je me suis relevée, j’ai pris la vendeuse dans mes bras pour l’embrasser et la remercier. Elle m’avait bien fait jouir avec la machine, je lui devais bien çà ! D’un même geste, nous avons porté une main sur la chatte de l’autre. N’ayant pas encore remis mon string, j’avais toujours la vulve à l’air. Elle a glissé deux doigts dans ma chatte et les a fait coulisser. Je massais son mont de Vénus par-dessus le pantalon. Je sentais la chaleur de son sexe au travers du tissu. Je ne résistai pas à faire glisser son pantalon et là, j’ai caressé une chatte douce et chaude, ornée d’un fin duvet, jusqu’à ce que la vendeuse jouisse discrètement. Cet appareil était tellement merveilleux que je passai commande d’un exemplaire à livrer à Paris. J’ai ensuite regagné mon hôtel où, avec délices, je me suis plongée dans un bain chaud pour me caresser deux fois jusqu’à l’orgasme. Deux semaines ont passé. On sonne à ma porte ! Oui c’est bien çà ! C’est ...