1. Une question d'honneur


    Datte: 07/12/2018, Catégories: fh, fsoumise, fdomine, soubrette, vengeance, fsodo,

    — Oui… continuez, mon seigneur… Le comte de Dranguard n’avait pas besoin de son assentiment pour continuer ses assauts. Il l’avait fait venir dans sa chambre pour ça, elle n’en partirait pas avant qu’il en ait fini avec elle. À nouveau, il posa ses yeux sur elle. Jolie, elle l’était incontestablement. De sa position, il ne voyait guère que son dos cambré, ses seins se balançant au gré de ses coups de reins, sa chevelure d’or tombant le long de ses épaules. Cela faisait plusieurs minutes qu’il la besognait en levrette, à rythme égal, sans grandes émotions, tel un mari effectuant consciencieusement son devoir. Elle n’en gémissait pas moins régulièrement, en bonne gueuse comblée par le privilège de servir son seigneur. Il y décelait même une pointe d’exagération, sans doute. Elles étaient toutes comme ça, ces femmes du peuple : quelques jolis sourires, une ou deux répliques de grand prince, un vin du meilleur cru. Après ça, elles croyaient, ou plutôt feignaient croire qu’elles avaient conquis le coeur de leur prince charmant. En réalité, toutes étaient fières d’avoir partagé la couche du comte de Dranguard ne serait-ce qu’une nuit, et, à part les plus idiotes, elles n’étaient pas dupes. Il était marié et, si jamais il lui prenait l’envie de faire la cour à une de ces femmes, c’était uniquement pour son entrecuisse et ses nichons. C’était déjà pas mal qu’il s’intéresse à elles. Une nouvelle fois, il referma les yeux. Et s’imagina la grâce en lieu et place de celle-ci. Certes, ...
    ... ses seins n’étaient pas aussi volumineux que ceux-là, lourds, tombants tels des pis de vache. Menus ils étaient, mais aussi délicats et sensibles au toucher. Sa voix, incomparable à celle qui criait ici d’une manière rustre. Glaciale et ferme souvent. Pleine de malice, croquante à souhait, parfois. Et, plus excitant encore, ses petits gémissements plaintifs, qu’il avait eu le plaisir d’entendre… Ses jambes longues et fines, dont la seule vue provoquait une irrésistible envie de les écarter pour cueillir ce qui se cachait entre elles. Son expérience, sa fougue une fois mise au lit. La louve glaciale cédant la place à la chaleur de l’aimante. Son regard espiègle, coquin, qui semblait toujours vouloir vous défier. Et surtout… Cette paire de fesses, au cœur de ses pensées depuis si longtemps. La comparaison avec celles sur lesquelles ses mains étaient fixées était hors de propos. Nul ne pouvait en disconvenir, le plus beau cul du royaume était celui de la duchesse de Kern. Une paire de fesses qui alimentait bien des conversations à la cour, et plus encore, des pensées. Le comte ne faisait pas exception à la règle, et bien mieux : lui avait été si proche de se les faire, ces fesses. Mais avant qu’il n’ait pu mettre ses désirs à exécution, elle s’était dérobée. De ses fesses, il n’avait guère plus que les toucher, après avoir été sucé puis chevauché tel un puceau inexpérimenté. Il avait encore du mal à accepter cette défaite humiliante pour un homme de son rang et de sa réputation. ...
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