Une question d'honneur
Datte: 07/12/2018,
Catégories:
fh,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
vengeance,
fsodo,
... cet instant. — J’ai baisé pas mal de tes semblables, mais toi tu es pas mal du tout.— Je suis heureuse de plaire à mon bon seigneur. Le comte ne put s’empêcher de sourire. Celle-ci décidément, jouerait jusqu’au bout son rôle naturel de femme soumise. Tant mieux, il n’avait pas envie de jouer aux petits jeux coutumiers. L’envie montait en lui, même s’il lui revenait de temps à autre l’image de la duchesse. Ses assauts devenaient maintenant plus brutaux et rapides. Les seins lourds ballottaient d’autant plus, ce qui l’excitait davantage encore. Il avait toujours aimé les gros seins de paysannes qui gesticulaient ainsi sous ses assauts. Et plus vite qu’il ne l’aurait cru, il sentit la jouissance arriver. — Je vais sortir. Retourne-toi, ma douce, si tu veux avoir de la semence noble dans ta bouche. La gueuse ne se fit pas prier. D’un mouvement, rapide, elle se retournait et empoignait son sexe. Il ne lui fallut que quelques secondes de va-et-vient avec ses mains pour que les premières giclées arrivent. D’une main puissante, le comte approcha la tête de la gueuse vers son sexe, jusqu’à ce qu’elle l’avale entièrement. — C’est de la graine de prince. Profites-en, ma douce. Et elle n’en réclama pas moins. C’est sans réticences ni protestations qu’elle avala les giclées qui se déversaient dans son palais. Jusqu’aux dernières gouttes qu’elle avala, rien n’avait été perdu. Nue et dérisoire, la gorge pleine de sperme, la gueuse se sentait stupide. Et désormais inutile. — Tu es bien ...
... bonne à baiser et tu ne fais pas d’histoire. Je te ferai probablement revenir une prochaine fois. Mais maintenant, va-t-en. Ce qu’elle fit sans sourciller ni poser de question. Les pensées du comte de Dranguard étaient déjà revenues à son inaccessible duchesse… — ------------------------------------------------- Tour à tour, chacun des conseillers du roi fit son apparition. Dans la grande salle des réceptions privées résonnaient leurs pas, alors que chacun venait prendre place autour de l’imposante table en chêne. Le comte de Dranguard, confortablement assis dans son fauteuil, laissa son regard se promener sur le défilé des nouveaux arrivants. Le capitaine de la garde, le chambellan, le connétable, le grand-duc des Eyriés… Puis elle. Toujours aussi fidèle à elle-même, sa désormais traditionnelle robe blanche provocante qui lui moulait si admirablement ses jambes et son cul. Déplacé, au sein même du conseil royal, mais trop apprécié pour que quelqu’un daigne lui faire la remarque. Elle le gratifia d’un immense sourire en l’apercevant, un de ceux qui la caractérisaient tant, hautain et sensuel, froid et provocant. Le duc ne se laissa pas décontenancer pour autant, en lui répondant d’un sourire aussi assuré et confiant qu’il lui était possible. — Messieurs, Sa Royale Majesté réclame votre plus grande attention, s’exclama le chambellan. Et le 16ème conseil royal débuta. L’attention du comte de Dranguard pourtant, était peu portée vers le sujet qui les avait amenés ici. Et à en juger ...