1. Une question d'honneur


    Datte: 07/12/2018, Catégories: fh, fsoumise, fdomine, soubrette, vengeance, fsodo,

    ... Quand il s’était figuré qu’à la prochaine tentative il corrigerait le tir, il s’est vite alors vite rendu compte que la prochaine n’était pas près d’arriver. Là où il croyait s’être définitivement acheté sa soumission par ses manœuvres et son jeu de séduction, elle n’était pas disposée à lui offrir plus qu’il n’en avait déjà eu. Sous ses aspects hautains, fiers et nobles se cachaient une experte des jeux de séduction et une garce une fois au lit. Il était bien placé pour le savoir. Et il s’était fait avoir, quoiqu’il ait gardé un souvenir impérissable de son sperme coulant sur ses lèvres et de son petit cul qu’il avait caressé à loisir pendant qu’elle le montait. Mais quand il rouvrit les yeux, la réalité lui revient. Sa vigueur avait baissé d’intensité, au point que la gueuse lui demanda si quelque chose n’allait pas. Il n’allait pas pousser le vice jusqu’à lui expliquer qu’en ce moment il n’avait nul meilleur désir que de baiser la duchesse de Kern, en lieu et place d’une quelconque femme du peuple. Aussi feignit-il de ne pas avoir entendu la remarque. Après tout, celle-là n’était pas mal du tout, il serait dommage de s’arrêter en si bon chemin. Le temps de la duchesse viendra se promit-il intérieurement, en attendant il fallait en finir avec celle-là. En jetant un regard vers ces fesses larges qui claquaient au contact de son bassin, il songea un moment à changer d’orifice. Au moins les gueuses ne faisaient-elles pas d’histoires avec ça. Une grande dame vous faisait les ...
    ... cent manières, jouait son rôle d’offusquée, même si au fond d’elle c’était son plus cher désir. Les gueuses, elles n’étaient pas aussi farouches, d’autant plus qu’en général ce n’était pas une nouveauté pour elles. Entre les viols, les maris robustes et sans manières, et les jeunes chevaliers désireux de satisfaire leurs fantasmes sur une femme du peuple, rares étaient celles qui avaient échappé à un dépucelage du cul. Mais non, c’était hors de question. Il s’agissait d’une question d’honneur. Il s’était juré, il lui avait juré, que le prochain cul qu’il se taperait serait celui de la duchesse de Kern. Qu’il réaliserait, lui, le fantasme de toute la cour. Cela faisait six mois certes. Six mois de privations, à attendre une nouvelle occasion qui n’était jamais venue, malgré bien des faux espoirs, de fausses invitations. Alors il reconcentra son attention sur cette paire de fesses qui claquait sans relâche, sur cette gueuse qu’il fallait sauter. Au vu du sourire qui ornait ses lèvres et de ses soupirs incessants, celle-ci semblait apprécier le traitement. Une de ses mains alla se saisir d’un de ces seins, tandis que l’autre restait fixée sur ces hanches, donnant parfois de légères tapes sur les fesses nues. — Ça te plaît, de te faire sauter par du sang noble. Ce qui était aussi appréciable avec les femmes du peuple, c’est qu’il n’avait pas besoin de peser ses mots. Et en l’occurrence, des niaiseries de contes de fées étaient bien la dernière chose qu’il avait envie de lui dire à ...
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