1. La sirène du Levant


    Datte: 07/12/2018, Catégories: fh, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme nostalgie,

    ... une dame d’une quarantaine d’années, habillée d’une courte robe colorée, avec un sac de plage bien garni. Elle est seule. Elle ne s’est pas déshabillée comme moi devant l’écriteau. Elle semble bien connaître les lieux et se dirige vers les rochers du bord de l’eau. Je lui fais confiance, instinctivement je la suis. Je n’ai pas du tout l’intention de l’aborder ou de la draguer, mais j’ai bien l’intention de trouver un coin agréable où je vais pouvoir m’installer. J’ai décidé de passer une journée de repos tout en faisant trempette et de parcourir un livre de blagues que j’ai acheté au bureau de tabac. Elle vient de s’arrêter sur un gros rocher plat, entouré d’une eau bleue et limpide. De petits groupes de naturistes se sont eux aussi installés dans un rayon de cinquante mètres. J’avise un rocher à une dizaine de mètres de celui de la dame. Le Marseillais poursuit quant à lui son chemin sur le sentier côtier. Il n’a pas trouvé ce qu’il voulait, sans doute. J’installe mon sac et je mets au frais ma bouteille de rosé de Provence, dans l’eau fraîche et limpide près d’un rocher. La dame s’est déshabillée. Son corps bien bronzé est bien proportionné, sa poitrine est jolie. Ses lunettes noires m’empêchent de voir ses yeux que j’imagine magnifiques. Elle semble sourire en m’apercevant. Elle s’est étendue sur le dos sous le soleil qui n’est pas encore trop ardent. J’aperçois la touffe noire de son pubis. Je ne veux pas lui montrer que je la regarde et je sors mon livre, faisant ...
    ... semblant de me plonger dans la lecture. Le soleil sur ma peau commence à la faire rougir. Je vais attraper un coup de soleil. Je n’ai pas apporté de crème solaire. Je me vois mal toute la journée sur ce rocher. Je ne ressens pas le bien que j’imaginais, sans mes habits. Je ne ressens pas les plaisirs de liberté promis sur la revue par des naturistes chevronnés. Je me sens tout à coup désenchanté de cette île que l’on me décrivait comme un paradis. Je remets ma chemisette sur le dos. Le soleil ne semblant pas trop chauffer mes fesses, je n’éprouve pas le besoin de remettre mon short. Au bout d’un petit quart d’heure, la dame se soulève sur ses coudes et regarde dans ma direction. Je fais celui qui est plongé dans la lecture. Je la vois tout à coup enlever ses lunettes, sortir sa serviette de bain et mettre un pied dans l’eau claire. Je vois son sexe quand elle se laisse glisser dans l’eau et faire quelques brasses en s’éloignant du bord des rochers. Le naturisme a parfois du bon et je me dis que je devrais l’imiter et essayer de la rejoindre, si j’étais un bon dragueur. Ma timidité est parfois paralysante. Ce doit être le cas aujourd’hui. La jeune femme rejoint son rocher et elle se sèche avec sa serviette. Comme elle me tourne le dos, j’en profite, comme un voyeur. J’ai repris mon livre de blagues, qui commence à m’amuser de plus en plus. Les anecdotes me font même rire presque aux éclats. Je ne fais même plus attention à la belle dame qui se dore au soleil, à quelques mètres de ...