Le garçon boucher 1
Datte: 08/12/2018,
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Dans la zone rouge,
... gagner un lot de produits efficaces. Voudriez-vous répondre à quelques questions simples - Montez à l'étage. J'arrivai sur le palier et découvris une nouvelle surprise. - Mais, tu es Jean. C’est toi hein ? Bien sûr. J'ai reconnu ta voix ! Si je m'attendais. depuis le temps. Entre. Une étude récente dit que les femmes sont avant tout sensibles aux voix masculines. Celle-ci le prouvait. - Laure, toi ici ? Après des années, je me retrouvais en face de mon premier amour. Laure, la quasi fiancée. Depuis l'âge de quatorze ans nous étions amoureux, inséparables. Nous avions découvert ensemble le baiser, les caresses timides, les premières audaces. J'avais vu pousser sous mes mains ses jeunes seins, connu les premiers émois charnels. Nous nous étions juré un amour éternel. Quand nous étions séparés nous nous donnions rendez-vous dans l'étoile polaire. - A minuit, tournons nos yeux dans la même direction, nos regards se rencontreront, m’avait-elle écrit. Laure m'avait montré comment était faite une fille en écartant le tissu de sa culotte ou en déboutonnant sa blouse de coton. Je l'avais vue passer au rouge quand j'avais appuyé mes caresses. Elle avait voulu vérifier qu'une verge enflait dans les doigts d'une fille. Les poils de son pubis avaient poussé avant les miens. Par étapes nous avions tout appris du corps de l'autre. Notre curiosité repoussait les interdits. Son clitoris avait aimé mes doigts, avait pris du volume au toucher et Laure avait fermé les yeux, au bord de ...
... l'extase. Ses premiers soupirs de bonheur avaient été le cadeau de mes 17 ans. Restait à nous connaître au sens biblique du mot. Ah ! Amours de jeunesse. Pour son dix-huitième anniversaire je l'avais emmenée au bal sous chapiteau dans un village voisin, à vélo. J'étais allé lui acheter une boisson. A mon retour elle avait disparu. Elle n'était pas sur la piste, elle n'était pas attablée, je cherchais à l'extérieur. Son vélo était toujours à côté du mien. Un copain me dit l'avoir vue se diriger vers une deux chevaux. Je cherchais encore et aperçus une deudeuch. La carrosserie était animée, secouée en roulis et en tangage. Sur le siège arrière, je reconnus la tache claire de la robe de Laure. Elle avait enfourché les cuisses d'un homme, montait et descendait comme sur les chevaux de bois, les bras enroulés autour de son cou, la tête penchée sur son épaule, visage tourné vers l'extérieur, bouche ouverte sur un souffle court, yeux exorbités, soudains fixes quand elle me vit collé à la vitre. Elle avait promis, je serais le premier et le dernier, elle serait à moi, rien qu'à moi. C'était pour cette nuit. Depuis des semaines je patientais. L'amour allait nous unir en secret mais pour la vie. Maintenant, là, elle me fixait, hagarde, mais continuait son manège, soulevée et abaissée par la vigueur des deux mains plaquées sur ses hanches. Elle me fixait, incapable de se dégager, le visage déformé par la douleur ou le plaisir, grimaçant, des larmes plein les yeux. Désirée elle m’avait fait ...