1. Aventure Africaine


    Datte: 10/12/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    C'est dans les pages "relaxation" du programme de spectacles bimensuel "Confetti" que j'ai trouvé le numéro de téléphone de Keyah. Et ce n'est pas sans difficultés que je suis arrivé à l'escalier C2 d'un bâtiment de béton brut planté au milieu de dix autres constituant un ensemble déprimant qui n'ose même pas s'intituler "Résidence". Escalier sonore, rampes de métal rouillé, peinture qui se décolle par lambeaux, portes minces qui laissent passer les cris aussi bien que les décibels de ce qu'ils appellent improprement "musique". Arrivé au troisième sans ascenseur, j'ai sonné, impatient de faire sa connaissance. La porte s'est entr'ouverte sur ses grands yeux noirs et son sourire accueillant. J'ai suivi son dos laissé nu par une courte robe de plage d'un bleu électrique. Elle balançait souplement des fesses et je me faufilais derrière elle entre des paniers de bouteilles vides, des cartons et des meubles placés là faute de place ailleurs. Sa chambre était complètement occupée par un grand lit, une armoire avec un miroir et une étagère encombrée de lotions démaquillantes et autres préservatifs. Un crucifix avec son rameau de buis sec et poussiéreux, encadré par des photos passées au soleil de Jean-Paul II et de "mère" Teresa dominaient le lit. Nos ébats allaient être placés sous divine protection. -- 120, c'est d'accord? Elle aurait pu dire 200, j'étais déjà fasciné par sa démarche tentatrice, par ses seins libres et généreux, enveloppés de façon très lâche dans le tissu aérien ...
    ... de sa robe, et par ses lèvres pulpeuses de femme noire, sensuelle de la tête aux pieds. Tout en agaçant mes lèvres de furtifs baisers, elle s'est mise à me déshabiller en prenant soin de placer ma chemise sur le dos d'une chaise et mon pantalon bien dans ses plis, ce que je ne fais jamais comme il faut, au grand dam de ma femme. Me voir nu et raide la mettait toute en joie. Sa robe vite ôtée, elle s'est révélée dans sa magnifique nudité. J'avais bien deviné la fermeté et le volume de ses seins, mais pas les larges aréoles d'un brun presque noir qui les couronnaient et qui faisaient paraître claire sa peau pourtant sombre. Sur sa taille fine, sur la peau soyeuse de ses hanches, sur celle, plus fraîche de ses fesses rondes et charnues, mes mains s'affolaient de n'être que deux. Elle souriait de mon agitation, elle frottait ses seins contre ma poitrine, elle posait des baisers sur mes épaules et dans mon cou, elle s'émerveillait professionnellement de ma raideur que ses mains pleines d'énergie s'appliquaient à exalter. Sans un mot et sûre de son effet, elle s'est allongée sur le dos, les cuisses grandes ouvertes. Ma langue est venue seconder mes mains dans leur exploration brouillonne, mes lèvres se sont emparées de son clitounet et se sont employées à le faire bander. -- C'est bon, oui, c'est bon, continue, t'es un ange. Elle s'est mise à serrer les cuisses et à soupirer des douceurs si rapidement que j'ai pensé qu'elle simulait. Mais les spasmes qui animaient son Mont de Vénus ...
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