1. Aventure Africaine


    Datte: 10/12/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... d'fric pour bouffer. -- Bonjour Keyah, si tu as des problèmes avec ta banque ou autre chose, je pourrais peut-être t'aider. -- C'est pas la banque, c'est la Sécu, ils veulent une attestation de vaccin. On regardera ça après. Elle m'a mené à la chambre. -- Ton fils n'est pas là? -- Il est à la maternelle. -- J'ai un cadeau pour lui. -- Ouahh, elle est super cette voiture. Il va être content. Merci, t'es un ange. Elle m'a remercié d'un baiser, aguicheur mais trop bref, laissant néanmoins ma langue taquiner la sienne. Nous nous sommes retrouvés nus. Elle m'a laissé promener longuement mes lèvres un peu partout sur elle, dans son cou, sur ses seins, sur son ventre, au creux de ses aisselles. Elle était ailleurs. Elle pensait peut-être à son fils, ou à la Sécurité Sociale, ou bien elle était simplement fatiguée. Elle sentait bon la "néglesse", sa peau était moite d'une transpiration délicieusement musquée. J'ai sucé ses tétons, comme l'autre jour le faisait son fils. Elle a commencé à frémir, je suis descendu jusqu'à la peau soyeuse de ses cuisses. Je les ai ouvertes en grand pour contempler avant d'y goûter la coupe fraise-et-chocolat de son adorable chatte. J'y ai plongé ma langue assoiffée aussi profond que possible. Je maintenais ses cuisses levées haut pour atteindre entre ses fesses l'oeillet qui m'attendait avec gourmandise. Son clitoris était gonflé, comme l'était certainement le pénis de son fils quand il nous regardait, et j'ai fantasmé un instant que je le suçais ...
    ... aussi. -- C'est bon, t'es un ange, ah c'est bon, continue. Sans précipiter le mouvement je lui laissais le temps de goûter la montée du plaisir. A chaque pression de mes lèvres, je sentais son bourgeon grossir un peu plus, et ses gémissements se faisaient plus profonds. Au moment crucial, la porte s'est ouverte dans mon dos. La tante était venue chercher un torchon dans l'armoire. -- Putain de mec, tu la fais joui' la Keyah. Elle a continué en wolof à l'adresse de sa nièce, tout occupée à son plaisir. S'étant bien rincé les yeux, elle ressortie avec son torchon. Keyah a tellement jouis que son ventre a tremblé quelques minutes. Ses tétons étaient sensibles, elle a refusé que je les suce. Je me suis contenté de poser des baisers furtifs sur ses paupières et dans son cou, tout en écoutant son souffle reprendre un rythme plus calme. Et tel un missionnaire couché sur sa bonne africaine, je l'ai enfilée. Mes allées et venues l'ont ranimée, l'électricité nous a traversé tous les deux, et nous avons joint nos lèvres pour mêler nos langues et nos soupirs. Je suis sûr que la tante avait écouté derrière la porte, j'ai cru entendre son souffle ému, mais elle n'est pas revenue prendre encore un torchon. Nous avons pu savourer notre plaisir dans le silence qui s'imposait. Keyah reposait sa tête sur ma poitrine et le miroir de l'armoire reflétait la mosaïque des peaux noire et blanche de nos corps amoureusement enlacés. Nus et sans gêne, nous sommes allés nous rincer à la salle de bain. Je me ...
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