1. Aventure Africaine


    Datte: 10/12/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... toujours! C'est un petit morceau d'enfance retrouvée que je croquais avec le chocolat du biscuit, et l'idée m'a traversé que ma mère aurait pu être une belle femme noire. Elle avait des courses à faire, elle m'a raccompagné à la porte, elle a glissé entre mes lèvres le bout rose de sa langue et m'a remercié d'un long baiser dont je garde encore un souvenir ému. Je suis sorti de son immeuble tellement exalté que j'ai failli me faire renverser par un bus. Trois jours après, impatient comme un gosse de refaire ce qui lui a plu, j'ai pris un nouveau rendez-vous avec Keyah. J'ai acheté pour son fils une belle voiture de course, bleue comme la robe de la première fois avec des piles pour l'éclairage et un vibreur qui simulait le bruit d'un moteur. Cette rencontre allait-elle être à la hauteur de la première? J'en attendais beaucoup et c'est avec une pointe d'inquiétude que j'ai regardé les heures passer jusqu'au moment délicieux où j'ai sonné. J'ai formé à ce moment le projet d'écrire un jour un essai sur l'érotisme des boutons de sonnette, et spécialement de ceux en forme de téton. La porte s'est ouverte en grand, mais sur un autre visage que celui de Keyah. -- Entle mon gars, e' va pas talder. C'était une grosse noire, très ronde comme on dit poliment, qui m'accueillait de sa voix grave à l'intonation typiquement africaine. Le tutoiement d'entrée, un grand sourire chaleureux, des épaules et des bras enveloppés de chair grasse et laissé nus par une sorte de robe-tube sans ...
    ... bretelles retenue par ses seins volumineux m'ont laissé de cette femme une forte impression. D'une démarche traînante elle m'a emmené au salon. -- Alol', tu viens baiser un cul d'néglesse? Keyah, c'est ma nièce. Son pèle est inconnu, sa mèle est molte et son mali l'a foutu l'camp. -- ... -- T'es du genle à aimer les néglesses. Ya des blancs comme ça. Y en a pas mal. C'est qu'on est chaudes, nous les néglesses. J'étais un peu étonné qu'elle parle de "négresses", terme "colonialiste" que je pensais désormais tabou. Je lui ai répondu, naïvement mais sincèrement : -- Et accueillantes, chaleureuses, je dirais même maternelles. Elle ponctuait ses propos de grandes claques sur mes cuisses et elle est partie d'un grand rire quand j'ai dit "maternelles". Elle a glissé sa main jusqu'à ma braguette pour voir comment je bandais. -- T'as bonne bite. Bonne bite poul beau cul d'néglesse. Keyah est alors arrivée, essoufflée par la montée des trois étages. Elle a sorti de son sac des papiers administratifs, et s'est mise à parler à sa tante à toute vitesse dans une langue africaine, le wolof comme je l'ai appris plus tard. Elles se sont embarquées dans une longue discussion, où j'ai reconnu les mots "Sécurité Sociale" et "attestation". Le ton montait, comme si elles se disputaient, mais c'était juste une conversation animée. Keyah a fini par dire à sa tante en me regardant quelque chose qui voulait dire sans doute: -- C'type est venu pour baiser. J'vais lui vider les couilles, et ça nous f'ra un peu ...
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