Christine V : Coeur, sexe et imagination (10)
Datte: 10/12/2018,
Catégories:
Hétéro
Cette année 2015 est extraordinaire, car elle nous permet constamment de nous surprendre l’un l’autre. Le dimanche suivant est le 31 mai. Les enfants sont confiés à mes parents pour l’après-midi. Christine et moi partons en balade. Chaussures et bâtons de rando, nous sommes équipés. Mais c’est avant tout pour donner le change, car nous ne faisons qu’une vingtaine de minutes de voiture. Comme je m’y attendais, Christine ne reconnait pas ce petit village de campagne. Je me gare. — Où sommes-nous ? Je ne réponds pas. Je prends un petit paquet dans la boite à gants et le donne à Christine. — Oh ! Un cadeau ? Avant de marcher ? Elle commence sérieusement à se poser des questions. Elle déchire le papier et découvre le mini-short beige. Elle rit. — C’est à ma taille, ça ? Elle hoche la tête. — Un très joli bout de tissu, cela dit. Et stretch. Je suppose que je dois le mettre ? Je souris. Toujours dans la voiture, Christine retire le short de randonnée et met le nouveau. J’ouvre alors ma porte et sors : — C’est bon, nous pouvons y aller. Elle rit et sort à son tour. Je prends le sac à dos puis découvre le postérieur de ma compagne : on lui voit un bon tiers des fesses. Elle est en train de se regarder dans les vitres de la voiture. Elle dit : — Vendredi passé, c’était déjà quelque chose. Tu me fais porter des tenues pas possibles. Je ris et m’approche d’elle. Nous nous embrassons. Je pose les mains sur ses fesses. — Je suis désolé, je suis juste fou de tes fesses ! Elle rit à son ...
... tour. Nouveau baisers et mots doux. Christine me prend la main et nous partons. J’avais décidé de ne rien dire. Nous étions tout juste sortis du village. Le chemin remontait lentement vers un arbre. En arrivant au pied de celui-ci, Christine dit : — Je ne sais pas où on est, mais j’ai l’impression de connaitre… Elle s’arrête, se retourne vers le village. Toujours perplexe. Elle ne me questionne pas. Elle regarde l’arbre et puis soudain, elle fait volte-face pour regarder les champs. Sourire. — Ne me dis pas que c’est là ! — A environ cinquante mètres. Sans attendre, Christine entre dans le champ, à pas comptés. Elle s’arrête, regarde alentours. — Là, oui. C’est là. Et elle se laisse tomber sur le dos, les bras en croix, un sourire radieux aux lèvres. Je pose le sac et fais de même, le nez dans le ciel bleu. Quelques instants plus tard, Christine roule à califourchon sur moi et m’embrasse avec fougue. Elle descend ensuite sur moi et me gratifie d’une magnifique fellation. Elle ne me fait pas jouir. Elle se lève. On dirait une petite fille qui vient de recevoir une poupée. Je prends la couverture dans le sac et nous la déplions dans le champ. A nouveau allongée, Christine dit : — La crème, nos jeux… Je m’en souviens comme si c’était hier. Et ça fait vingt ans. La première fois que je suçais un mec et c’était mon futur mari. — En effet, double anniversaire. Moi, c’est ici que je suis devenu dingue de ton cul ! Elle rit. — Tu m’avais fait mettre à quatre pattes devant toi ! Quand je ...