1. Christine V : Coeur, sexe et imagination (10)


    Datte: 10/12/2018, Catégories: Hétéro

    ... me souviens à quel point j’étais complexée à l’époque, ça me parait impensable ! — Je t’avais dit qu’un jour, tu me laisserais tout mon temps pour regarder, que je te prendrais en levrette et que je te sodomiserais. — Alors ça, tu penses bien que ça m’a marqué ! A l’époque, il était tout à fait hors de question qu’un homme me fasse l’amour dans cette position. Je la regarde soudain avec envie. Pas besoin de mots désormais. Christine sourit, nous nous embrassons puis elle se tourne sur le ventre et relève doucement la croupe. Dans la même position que deux décennies plus tôt. En appui sur les mains, légèrement cambrée, Christine est incroyable. Je passe derrière elle et m’agenouille. J’en suis presque ému. J’embrasse ses fesses avant de descendre lentement le short et son string. Mes battements de cœur s’accélèrent alors que je force doucement pour passer les larges hanches de Christine, car je découvre son anus, toujours aussi bien dessiné, puis sa vulve, que je devine déjà humide. Je retire les vêtements par les pieds puis Christine écarte les jambes. Cette fois, j’ai tout mon temps. J’embrasse son minou, son petit trou. Ma langue glisse entre les lèvres de son sexe et je goûte à son nectar. Immédiatement, Christine se cambre un peu plus, écarte un peu plus les jambes. Je me délecte de cette caresse. Elle jouit. Je remonte alors à son anus qui pointe vers le ciel et excite de ma langue cette petit rondelle nerveuse qui ne demande désormais qu’à s’ouvrir. Et ma femme est ...
    ... tellement détendue… J’aime tellement glisser ma langue profondément dans cet orifice et Christine raffole de cette caresse. Je me redresse derrière elle et amène mon sexe à l’entrée du sien. — Pas là, mon amour, pas par là… Je remonte à son anus dans lequel je glisse sans aucune difficulté. J’encule ma femme en levrette en pleine nature. Puis-je trouver plaisir plus grand ? Je ne crois pas. Je fais durer autant que possible, à tel point que le sphincter de Christine ne serre quasiment plus ma bite qui le transperce depuis plus de dix minutes. A bout, je me retire. Christine se tourne et je jouis sur ses seins. Après une sieste, nous recommencerons. Si j’avais surpris Christine avec ce retour dans un lieu marquant des premiers émois de notre rencontre, elle allait me rendre la pareille le lendemain. Alors qu’elle part travailler, elle me dit : — J’aimerais bien manger avec toi à midi. — Oui, sans problème. On se retrouve où ? — Je t’envoie un mail dans la matinée. A 11h30, je reçois le lieu du rendez-vous. Une fontaine du centre-ville. J’y retrouve ma femme et elle m’emmène dans un petit restaurant dans lequel je n’ai pas été depuis de longues années. J’essaye de me souvenir si je suis déjà venu avec Christine, mais je ne le pense pas. Nous passons commande et Christine fouille dans son sac. Elle en sort une petite boite qu’elle me tend. — A mon tour de te faire un petit cadeau. J’ouvre et découvre une toute petite clé. Je percute soudain. — On est le 1er juin. yucybbrd — Il y a ...