1. Christine V : Coeur, sexe et imagination (10)


    Datte: 10/12/2018, Catégories: Hétéro

    ... dix ans aujourd’hui. Je n’y avais pas pensé. Une décennie plus tôt, nous emménagions ensemble. Cette marque me touche beaucoup. Je fais le tour de la table pour embrasser mon épouse. — Par contre, pourquoi ici ? — Ça ne te dit rien ? — Pas du tout. Elle sourit. — Nous sommes venus ici avec notre classe, un soir. Madame Jobin nous avait emmenés au théâtre et nous étions venus après. Ça date tellement. Je fouille dans ma mémoire, mais je ne me souviens de rien. Je fais "non" de la tête. Christine poursuit. — Au théâtre, j’avais tout fait pour m’asseoir à côté de toi, mais je n’y étais pas parvenue. Ici, j’avais réussi à être en face de toi. Tu portais une chemise rouge et un pantalon noir. Rien ne me revient. Elle rit. — Il doit en exister deux ou trois photos, certains avaient des appareils. Bref, ici, on s’est fait du pied, ou plutôt, nos pieds se sont heurtés plusieurs fois durant le souper et j’y ai vu un signe. J’étais très excitée en rentrant. Il m’a quand même fallu patienter quelques mois. — Je suis vraiment désolé de ne pas me souvenir. — Ce n’est pas grave. Nos plats arrivent et nous mangeons assez rapidement. Nous ...
    ... prenons ensuite le café sur la terrasse, au soleil. Au moment de nous séparer, nous nous embrassons et Christine dit : — Tu rentres un peu plus tôt ce soir ? J’aimerais bien faire l’amour avant d’aller chercher les enfants… — Éventuellement, je peux. — Éventuellement ? — Tu as quoi dessous ? — Soutien-gorge et string blancs. Je fais la grimace. Elle me tape en riant. — Je peux passer quelque chose en rentrant. — J’aimerais bien. — Qu’est-ce qui te ferait envie, coquin ? Je réfléchis quelques instants. — Une guêpière sexy et ces talons. Elle sourit. — Tu veux que je remette mon chemisier et ma jupe dessus ? — Pourquoi pas… Je suis déjà excité. Christine le sait et se colle contre moi, la main sur mon entrejambe. Elle me masturbe en pleine rue, à travers mon pantalon. — Ne me fais pas attendre alors. Et elle s’en va en me laissant penaud, au milieu de ce passage fréquenté, une bosse déformant mon pantalon. Je file vers un coin isolé, le temps de reprendre mes esprits et de calmer mes ardeurs. A 17h00, Christine a remis ses vêtements du jours sur sa guêpière. Nous faisons divinement l’amour. Je file ensuite chercher les enfants. 
«123»