1. Le plus beau jour de ma vie (3)


    Datte: 11/12/2018, Catégories: Lesbienne

    ... diffuse partout et dans tout le lycée que tu es lesbienne, que tu veux piquer les mecs, que tu veux te faire la prof de maths. Tu connais la mentalité à la con de certains. Alors ? — Promis, je ferai tout ce que tu veux, mais ne dis rien. Je t’en prie, Julie… implore-t-elle. Elle l’entraîne dans les toilettes des filles, entre dans une cabine et ferme la porte à clé. — À poil ! Fous-toi à poil tout de suite ! ordonne Julie à voix basse mais ferme. Chloé, plutôt réservée, les larmes au bord des yeux, s’exécute. C’est la première fois qu’elle se trouve dans cette situation, obligée de se mettre toute nue comme ça dans ce lieu totalement insolite. Elle l’a souvent rêvé, imaginé le soir dans son lit en se masturbant violemment en pensant à Julie. Elle admire beaucoup sa beauté et son caractère fonceur qui lui donnent envie de faire des choses avec elle. « Est-ce que ce rêve est en train de se réaliser ? » pense-t-elle tout en se déshabillant docilement. Le pull et le chemisier accrochés au portemanteau, la jupe a glissé au sol. Elle hésite à continuer ; il ne lui reste plus qu’a retirer son soutien-gorge et sa culotte en coton Petit Bateau. Elle se sent ridicule avec cette culotte, humiliée devant cette fille en furie qui lui fait peur tout à coup. Elle tremble, tente une intervention : — Julie, s’il te plaît, pas toute nue… implore-t-elle. — Tu es sourde ou quoi ? Je t’ai dit « à poil », c’est pourtant pas compliqué ! rugit Julie entre ses dents. Des voix et des pas se font ...
    ... entendre, ainsi que des rires. Chloé est pétrifiée. Julie lui met la main sur la bouche pour qu’elle ne crie pas. Julie la fixe dans les yeux, puis d’un mouvement de tête entre les sous-vêtements et ses yeux lui fait comprendre de s’exécuter. Le soutif et la culotte tombent au sol, offrant de jolies courbes à la vue de Julie qui la félicite pour sa beauté. La voilà entièrement nue dans les WC. À poil dans les chiottes du lycée, jamais elle n’aurait imaginé une chose pareille, offrant ainsi son corps de jeune femme d’un an la cadette de Julie ! Seul le miroir de sa salle de bain avait eu l’honneur de la contempler. Elle aussi est satisfaite de son corps ; elle le soigne avec attention et amour, le lave avec soin, y applique de la crème pour qu’il soit doux, enlève les poils disgracieux et le vaporise d’un parfum délicat. Elle expose ses seins en pleine croissance, ronds comme des demi-pamplemousses ; la courbe des ses formes enflamme encore plus Julie qui vient de la plaquer contre le mur et l’embrasse avec fougue. Sa main plongée dans l’entrejambe trempé de Chloé, elle la masturbe avec force. Chloé se tord dans tous les sens en se retenant de crier tandis que les doigts de Julie, qui domine la situation, fouillent le vagin prisonnier. Chloé est sous son emprise, elle ne peut rien faire. Julie s’est collée à elle, pressant son dos et ses fesses contre le mur froid. Chloé s’abandonne, les yeux fermés, savourant cet instant ; peu importe ce qui va se passer : enivrée, la tête dans ...