1. Le plus beau jour de ma vie (3)


    Datte: 11/12/2018, Catégories: Lesbienne

    ... qu’on me réponde de la sorte ; tu vas être ma soumise jusqu’au week-end. On va voir si tu fais toujours la fière ! Julie, excitée par ce qu’elle vient de faire avec Chloé, la culotte complètement inondée de mouille, ne tient plus en place ; sauf que la pause est presque terminée. — Julie, tu vas aux toilettes te calmer. Tu fais ce que tu veux : tu te tripotes, tu te masturbes, et tu reviens sans rien dessous, comme ta copine, sinon il va t’arriver des histoires ! Julie n’en demande pas plus ; en un éclair elle est dans les toilettes, ses fringues gisant sur le sol. Appuyée contre le mur au même endroit que Chloé tout à l’heure, elle s’astique le bourgeon, se pince les tétons avec force – elle se fait mal tellement elle serre fort – se frotte le sexe avec force et finit par être parcourue par un violant orgasme. Secouée dans tous les sens, elle serre les dents pour ne pas crier. La sonnerie retentit ; vite, elle enfile sa robe, son blouson, fourre ses sous-vêtements dans la deuxième poche de son blouson, sort des toilette et s’asperge d’eau en passant devant les lavabos. Elle court vers sa classe, et dans sa course la vitesse et le vent font remonter sa robe jusqu’en haut de ses cuisses, ce qui permet à Manu d’apercevoir son minou nu. Elle le rejoint. — Alors, ça va mieux ? — Oui, mais tu aurais pu venir avec moi, ça aurait été mieux. J’ai fait ce que tu as dit, lui répond-elle, tout essoufflée. — T’inquiète, j’ai vu quand tu as couru. Et de toute façon, tu ne doit rien dire. ...
    ... Ah si : juste « oui » ; pas de commentaires, rien. Tu n’as même pas le droit de dire « non » jusqu’au week-end ; c’est bien compris ? Elle répond d’un « oui » timide ; pourtant, ce n’est ni dans son caractère, ni dans ces habitudes de se soumettre de la sorte. Elle a un caractère fort, hérité de sa mère qui lui a toujours dit « Ne te laisse pas faire ; sois combative, agressive quand il le faut. » Elle se trouve dans une situation nouvelle tout en acceptant de bonne grâce ce nouveau jeu dont elle est un peu l’instigatrice, ce qui n’est pas pour lui déplaire ; bien au contraire, l’excitation reviens au galop. En classe, Chloé assise dans le rang à côté de celui de Julie, ne cesse de la regarder, éveillant ainsi les soupçons de la prof qui n’est autre que la mère de Julie (petit rappel : Alice est prof de maths et prof principale de la classe de Julie, Manu et Chloé). — Julie et Chloé ! Vous avez un problème toutes les deux ? interroge Alice de sa voix de prof, celle qui fait froid dans le dos. — Non, non, Alice, tout va bien, répond rapidement Julie. Elle ne veut pas se retrouver dans une situation gênante, du genre « au tableau », perchée sur une estrade à l’ancienne, avec les garçons au premier rang et elle sans culotte ; elle se sent mal à l’aise, mais sa rapidité l’a sauvée. Á la fin des cours, Manu récupère les sous-vêtements de Chloé et les lui rend discrètement, accompagnés d’un petit mot qu’elle déplie. Dessus, elle peut lire : « Tu es vengée ; à ce week-end. Manu. ». ...