Le plus beau jour de ma vie (3) - Histoires de Sexe

Le plus beau jour de ma vie (3)

... les étoiles, les jambes en coton, elle s’abandonne à ce plaisir soudain. Elle sent l’orgasme arriver, se tortille pour en demander plus ; la réaction de Julie est immédiate : elle la branle avec force, lui provoquant un orgasme puissant et indescriptible. Elle n’en a jamais eu de semblable. — Mais tu es vachement bien foutue, dis donc ! Et tu mouilles comme une fontaine ! Hum, tu aimes ça, dis-moi… Tu as aimé, on dirait, te foutre à poil dans les chiottes pour te faire branler ; t’es une vrai salope ! Hein, que t’es une salope ? Chloé s’apaise. Rouge écarlate, elle tente de dire quelque chose, d’embrasser Julie qui la repousse contre le mur et lui plaque une main sur la bouche. Son regard planté dans celui de Chloé, elle lui dit : — C’est moi qui décide, OK ? Rhabille-toi. La sonnerie va retentir dans pas longtemps ; il faut faire vite, et pour faire plus vite tu n’as pas besoin de ça. Julie vient de garder les sous-vêtements de Chloé qu’elle fourre en boule dans la poche de son blouson. gtygddzr — Le cul à l’air te fera du bien ! Demain, je veux te voir sans soutif ni culotte. OK ? Vas te passer de l’eau fraîche sur le visage, on dirait que tu vas éclater. Elles sortent des toilettes ; heureusement, personne n’est là. Chloé, chancelante, s’asperge d’eau, se rajuste tant bien que mal et quitte les lieux accompagnée de Julie. — Tu as aimé, on dirait, ma salope ! — Oui, beaucoup. J’ai eu la trouille de ma vie ! Mais, putain, qu’est-ce que c’était bien ! — Je m’en suis ...

... aperçue ; si tu es sage, tu auras une belle récompense ; je te le promets. — Je ferai ce que tu voudras. Qu’est-ce que tu veux de moi ? — Pour commencer, je ne veux plus te voir avec ça, dit-elle tout en tapotant sur la poche de son blouson. Ensuite, tu vas te débrouiller pour venir chez moi le week-end prochain pour réviser ; c’est ce que tu diras à tes parents. On va aussi réviser, sauf qu’il ne faudra pas que tu fasses d’erreurs, sinon gare à toi… — Je vais me débrouiller, je serai là ; mais il y aura tes parents ? — Non, il n’y aura Manu, moi et toi, et peut-être… mais on verra. N’aie crainte, je ne suis pas idiote ; tu vas voir, tu ne seras pas près de l’oublier, ton week-end de révisions, fais moi confiance ! Dans la cour, Julie rejoint Manu. — Manu, on va passer un week-end d’enfer. — J’y compte bien : on a bossé comme des fous depuis la rentrée ; il faut qu’on fasse une pause, ma chérie. Elle lui explique ce qu’elle vient de faire avec Chloé. — Tu es complètement obsédée par le sexe, ma pauvre Julie… — On va s’éclater, tu vas voir : Chloé vient réviser ce week-end. — Et toi une dévergondée, une obsédée, une je ne sais pas quoi… — Rajoute une maîtresse : ce week-end, toi et Chloé vous serez mes esclaves ; ça va être terrible… pour vous ! reprend-elle, le sourire au coin des lèvres. — Tu veux jouer à ce genre de jeu ? OK, on va jouer ; mais je te préviens tu vas y passer aussi. — À votre service, Maître, reprend-elle en riant et en l’embrassant tendrement. — C’est bien : j’aime ...