1. La femme d’Henri


    Datte: 11/12/2018, Catégories: Humour, Mature, Partouze / Groupe

    ... il faudrait que je les connaisse.— Une serait de pardonner à ton mari, mais je ne suis pas sûr que ce soit une bonne solution, la séparation de corps, le divorce.Après téléphone, elle annonce qu’en cas d’adultère, on peut considérer que l’abandon de domicile n’entraîne pas de conséquence.Me regardant d’un regard troublé, Linda annonce :— Je veux bien me venger avec toi, tu as aussi souffert je suppose, c’est normal qu’on se console comme on peut.Je me mets à côté d’elle et la prend dans mes bras et l’embrasse sur la joue, puis prolonge vers son oreille et descends vers le cou. Alors elle se retourne et m’offre ses lèvres que je m’empresse de prendre et on entame une danse des langues.En même temps, je lui caresse langoureusement le dos, les flancs. Elle soulève le bras où la main qui se rapproche de ses seins, mais c’est avec l’autre main que j’empaume sa poitrine et commence à les malaxer doucement.Subitement elle se dégage.— Il fait trop chaud, permets que j’enlève un peu des couches.— Je ne demande pas mieux. Et je l’aide à enlever son boléro et elle reste en soutien gorge, J’aime beaucoup la voir comme cela, spécialement les jolis écureuils qu’elle a sous les bras.Je ne peux m’empêcher d’approcher mon nez et ma bouche de ces trésors et du coup elle lève le bras pour m’en donner l’accès.— Tu aimes mes poils— J’adore, avec toi je suis servi.— Alors tu n’as encore rien vu, mais toi, tu ne veux pas te mettre à l’aise.J’enlève à mon tour mon paletot et ma chemise et je ...
    ... reprends sa bouche pour un baiser tout en décrochant son soutien gorge puis continuer la caresse de ses seins qu’elle a tout à fait adorable, tenant juste dans ma main. Je commence à sentir les effets de l’excitation de cette magnifique femme. Je bande comme un cerf,Linda regarde avec intérêt la déformation de mon pantalon et avance une main aventureuse vers la bosse que forme mon sexe. Juste à ce moment, Juliette revient de sa chambre où elle a aussi allégé la tenue, elle arrive dans une délicieuse nuisette.— Vous permettez que je me mêle aux réjouissances.— Je t’en prie, viens de l’autre côté de Linda, elle a besoin d’être réconfortée.— Allons plutôt dans ma chambre et déshabillons-nous, ce sera plus simple.Nous le fîmes à la différence que Linda se gênait d’enlever sa culotte, vu le tablier de sapeur qui devait orner son bas ventre.Délicatement, j’embrassais son ventre tout en passant ma main sur sa culotte en m’attardant su l’emplacement présumé de son clito et bientôt je remarquais une agréable odeur qui sourdait de ses dessous, sans parler d’une humidité qui marquait mes doigts.Finalement, je passais ma main sous l’élastique de sa culotte et commençait à lisser son astrakan alors que Juliette lui caressait les cheveux en l’embrassant dans le cou, puis elle déplaça ses caresses vers les épaules et finalement empauma à son tour les seins de Linda qui eu un petit sursaut, peu habituée aux attaques lesbiennes.— Tu n’aimes pas ?— Je ne sais pas, je ne l’ai jamais fait avec une ...