1. La femme d’Henri


    Datte: 11/12/2018, Catégories: Humour, Mature, Partouze / Groupe

    ... paradis. Il y avait un vrai fado dans ma tête.Laissant Linda récupéré, je m’approche de Juliette d’un air gourmand.— Me laisseras- tu te régler le carburateur, mais avant de mettre la burette à huile, il faut que je le prépare avec la langue.— J’en attendais pas moins. Répond-elle en se mettant en position de recevoir mes caresses linguales.Je m’installe entre ses jambes et déguste une merveilleuse moule qui devient de plus en plus crémeuse, ma langue agile s’entraîne au Marathon, faisant des allers-retours du fondement à la fève des délices, passant par une magnifique vulve au jus généreux et savoureux.Voilà que Linda commence à émerger suite à son engourdissement post orgasmique, elle regarde intéressée ma séance de léchage en se frictionnant la vulve.— Je peux aussi essayer, minaude-t-elle,— Mais oui, mais je me fais régulièrement chasser quand cela commence à être super bon.Juliette, super gentille me propose une compensation à ma désertion. Elle veut bien s’occuper de mon bâton de berger, elle en avait gardé un bon souvenir.On s’installe pour le round suivant, Linda à plat ventre devant le sexe de Juliette qui est sur le dos attendant que je vienne à genoux lui présenter mon lézard. Sa bouche est délicieuse et ma pine déjà bien excitée par la moule de Linda ne tarde pas à présenter des signes qui ne trompent pas, elle a envie de dégorger un flot impétueux.— Juliette, je suis à deux doigts de ...
    ... jouir. Tu veux que cela parte où ?— Cette bonne crème, c’est pour moi, reste où tu es. Mes amygdales frétillent d’avance.Je ne retiens plus, j’ouvre les vannes de fonds.Linda, lève les yeux, un peu étonnée,— Tu avales son sperme ? Cela a quel goût ?— Viens me donner un baiser sur la bouche et je t’en redonnerai un peu. C’est du deuxième main, mais encore très savoureux.Linda, après avoir partagé dans la bouche de Juliette, le produit de mes couilles se propose de réanimer mon étendard fatigué. Son léchage un peu maladroit n’en est que plus agréable, elle s’applique beaucoup pour redonner vigueur à mon poireau.Arrivant à ses fins, Linda toute heureuse annonce :— Juliette, il est fin prêt, tu n’as pas encore pris ton pied, il est pour toi !— Linda, serais-tu d’accord que nous fassions un trio simultané, c’est-à-dire que pendant que ma queue investit la vulve de Juliette, en même temps, ma langue s’occupe de la tienne. Vous venez les deux sur moi.— Mon Dieu, je n’aurai jamais pensé à ça.— Linda tu peux m’appeler simplement par mon prénom George. Dis-je en plaisantant.— Mais c’est pas à toi que je m’adressais, c’est au Dieu de l’église.— Tu penses qu’il s’occupe de ces choses-là ? Cela me fait tout drôle de penser qu’il nous regarde peut-être. Mais je ne me fais pas trop d’illusion, excuse-moi si je te chicane un peu.C’est vraiment bon, quand on a deux femmes à soi, surtout quand elles apprécient le sexe, 
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