1. La femme d’Henri


    Datte: 11/12/2018, Catégories: Humour, Mature, Partouze / Groupe

    ... femme, mais elle est si douce que je crois que je vais bien aimer.Juliette à ces mots déplace sa bouche et commence à son tour à lui rouler une pelle pendant que j’excite son clito.Je commence à tirer sur la culotte pour avoir un meilleur accès, mais Linda essaye de m’en empêcher.— Pourquoi, j’aimerais bien présenter mes hommages à ton petit abricot.— Oui, mais comme tu le sens, j’ai plein de poils sur mon bas-ventre, j’ai un peu honte.— Pourquoi, je t’ai dit que j’aimai horriblement les femmes poilues. Tu ne vas pas me décevoir, mais m’enchanter.— Oui, mais Juliette ?— Pour le moment, c’est pas elle qui viendra sucer ta moule, mais moi et ne me refuse pas, je sens que ton odeur est délicieuse.Alors Linda se décide et abaisse le dernier rempart à ma convoitise. Hum quelle touffe, je n’en ai jamais vu de si belle. Une vraie forêt amazonienne, avec en son milieu le fleuve amazone. De la langue, j’écarte un peu les fouillis qui encombrent les berges avant de me plonger dans la délectation du miellat lusitanien.Rapidement, elle monte les tours, son bassin montre le plaisir qui croit en elle.— Oh ! c’est bon, tellement nouveau pour moi, mon mari ne s’y aventure jamais. J’aime encore et encore,Ses mouvements deviennent de plus en plus saccadés et le fleuve est à la cote d’alerte avant de déborder, malgré mes efforts pour le contenir. Je me régale de cette moule portugaise. Vraiment à point, Henri, de plus en plus je ne le comprends pas, enfin, c’est vrai que la femme du voisin ...
    ... est toujours plus appétissante que la sienne propre, au moins au niveau des fantasmes.— Viens me baiser, j’ai envie de te sentir en moi. Je prends la pilule depuis que Henri m’a dit qu’il ne voulait pas de têtards, même si j’ai tout ce qu’il faut pour qu’un bébé puisse se rassasier.Je m’éloigne de ce délicieux entremet et me mets en face d’elle, la queue en avant et je la place à l’entrée de son trou et vigoureusement, j’investis son tabernacle. C’est très bon, on voit qu’il n’y a pas beaucoup de km au compteur, mais il y a du potentiel. Je me déchaîne, maniant ma bite avec férocité et v******e quand soudain, Juliette :— Quelle fougue, mais j’aimerais aussi me rassasier de sa figue, Pour moi, comme pour Linda, c’est une première, Ce n’est pas que je n’apprécie pas le goût de la crème de pruneaux, mais séparément d’avec le miellat de mon abeille chérie.— Excuse-moi, j’ai agi en égoïste en prenant tout, je te fais la place, tu vas te régaler.À ce moment-là, Linda qui était déjà sur la route du jardin de Gethsémané. Le paradis était à sa portée, mais elle rua dans les brancards.— Je suis une femme et jamais j’ai joué avec une autre.— Fais plaisir à Juliette, pense que c’est moi qui te dévore la moule.Se recouchant sur le dos, les jambes bien écartées, Linda accepte l’intrusion de Juliette qui en était à sa première léchée féminine, Linda, subissant l’interdit, part très rapidement dans un orgasme très fort.— Mon Dieu, je ne le crois pas, j’ai eu l’impression de voir les portes du ...