1. Félline - Une BioXXXgraphie (2)


    Datte: 12/12/2018, Catégories: Hétéro

    ... faisant virevolter le bout des doigts sur les hanches parfaites, sur les seins menus, sur les fesses parfaites. Tu lui as montré ce petit cul-là, hm ? Elle hocha la tête avec un sourire ravageur. _ Et tes seins, aussi ? Tu lui as montré tes petits seins, hm ? Et ta petite chatte, aussi ? Tu t’es touchée un peu ? _ Tais-toi. Baise-moi. Déjà Jean prenait Félline en levrette. Elle se cambra quand il entra en elle, puis releva le bassin en basculant, la tête dans les oreillers. Elle savait que dans cette position, le gland de Jean toucherait le deep spot d’un instant à l’autre. Déjà, ses gémissements se perdaient sur le drap. Jean empoigna les hanches, tira de toutes ses forces, et pénétra Félline de toute sa longueur. Elle jouit instantanément. Ce fut si rapide que Jean n’eut que le temps de sortir. Un long jet de sperme macula le dos de Félline, frappant presque entre les omoplates. _ Pour la plage, c’est foutu, dit Jean quand il eut repris ses esprits. _ Tu ne disais pas qu’il y avait un lieu exhib, pas loin ? _ Pas exactement exhib. Naturiste. _ Quelle différence ? _ Ben si, il y a une différence, c’est que… _ Non mais chéri, merci, je sais, dit Félline en se penchant sur lui et en lui embrassant le torse. Je veux dire que… Si on veut… Comme tu seras tout nu… Et moi aussi… Et qu’on sera tout près l’un de l’autre… On pourrait… _ Attends, chérie, attends, tu as encore plein de sperme dans le dos, je… _ Tu n’as qu’à jouir en moi, au lieu de sortir. Hm… Ou dans ma bouche… _ ...
    ... Putain, viens là, je veux te lécher la chatte ! Ils s’abandonnèrent dans un soixante-neuf délicieux. Cette après-midi-là, Félline avala une giclée de sperme que Jean venait de décharger dans sa bouche. Le goût ne lui déplut pas. Cette même nuit, après une baignade au milieu des étoiles reflétées dans l’Atlantique, ils s’installèrent en contre-haut de la plage naturiste, parmi les pins. Ils firent l’amour debout, dans l’odeur de résine, Félline accrochée à Jean de ses bras et de ses jambes, les mains de son amant soutenant ses fesses. Il la fit jouir doucement avant de se répandre en elle avec un soupir passionné. Les alentours bruissaient de pas étouffés, de silhouettes sombres qui se tenaient à distance, laissant échapper des souffles courts, des froufrous de tissus, des claquements de langues. Félline essaya de deviner combien de paires d’yeux les dévoraient du regard, elle et Jean. Bientôt elle s’avisa que cela ne présentait aucun intérêt, aucune importance. Jean la déposa à terre. Elle rajusta son paréo, encore toute dégoulinante du sperme de Jean. Ils quittèrent les lieux sans un mot, sans un regard pour leurs spectateurs silencieux et immobiles. Ils rentrèrent à l’hôtel main dans la main. _ Je t’aime, dit Félline. _ Je t’aime, dit Jean. Cette nuit-là, Félline se réveilla. Dans la lueur bleutée de la nuit qui entrait par la fenêtre ouverte, elle vit que Jean scrutait le plafond. _ Tu ne dors pas chéri ? _ Non. Je réfléchis. _ A quoi ? _ Une fille comme toi, sportive et tout… ...