Bureau derrière la porte
Datte: 12/12/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
amour,
intermast,
Oral
... dévorons. D’un seul coup, un bruit me fait bondir, quelqu’un vient de frapper à la porte, je n’attendais personne, je la contemple interloqué, interrogateur. Elle me regarde hébétée, la peur d’être surprise dans une posture si délicate. Elle est incapable de parler, mais elle me fait non de la tête. Sorti de ce brouillard sensuel, érotique qui m’avait propulsé dans un univers que je suis bien incapable de décrire, je reprends peu à peu pied dans la réalité. Je réajuste son soutien-gorge, enferme pour de bon son téton non sans avoir déposé dessus un dernier baiser humide. Je remets en place le tissu de son string, imparfaitement car je suis maladroit dans ma précipitation, elle doit le replacer exactement sur sa vulve irritée. J’ai profité de ses contorsions pour caresser de ma main totalement déployée son sexe trempé, ayant l’impression de traverser une marre. Sa jupe retombe sur ses hanches et ses jambes sans bruit. Elle est écarlate, épuisée par cette étreinte rapide et pleine d’ardeur, pourtant elle me sourit. D’une main ...
... prudente et attentionnée, elle fait regagner à ma verge sa prison de coton, elle n’a pas eu le temps d’y poser sa bouche. Encore des bruits de pas, distincts maintenant, des paroles au loin dans le couloir, j’ai retrouvé tous mes esprits. Je prends la parole fort, je lance quelques mots sur un dossier que nous suivons l’un et l’autre, il faut donner le change, ne pas prêter le flanc à la moindre curiosité malsaine, à une quelconque jalousie, ne pas nous fragiliser, surtout ne pas la fragiliser elle. Elle dépose un dernier baiser sur mes lèvres qui voudraient encore la retenir pour la boire sans fin. Son regard étincelant me signifie qu’il faut être raisonnable, elle disparaît. Je suis comme pris de vertige et je m’affale derrière mon ordinateur, épuisé comme au retour d’un long footing. Diable, chaleur et sueur font aussitôt leur réapparition, dire que je les avais tout bonnement oubliées ces deux là. Un message au bas de l’écran. C’est elle, je l’ouvre : « J’en ai encore plein qui coule le long de mes cuisses, c’est si bon… »