1. Le joli mois de Mai. 1ère partie : Angers


    Datte: 13/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ANGERS « Prenons des femmes et du vin, gloussons et rigolons. Les sermons et l’eau plate c’est pour demain ». Lord Byron Mai, avec ses week-ends à rallonge, nous donne cette année encore l’occasion de revoir Sébastien et Lisa à l’occasion de la fête du travail. Leurs deux enfants étant partis chez les grands parents, nous sommes seuls tous les quatre dans la maison qu’ils retapent avec goût mais très lentement. D’ailleurs nous devons inaugurer cette fois la chambre d’amis fraîchement finie, avec sa grande salle d’eau, toute neuve. Arrivés chez eux en fin d’après-midi, nous sommes vite passés aux choses sérieuses avec un délicieux Chablis que j’ai dégoté en direct de la propriété. Plus tard à table nos discussions nous amènent à parler de boulot, famille, enfants mais aussi très rapidement de sexe. Il faut dire que sans avoir fait dans la provoc’, nos deux compagnes ont des tenues mettant en valeur tous leurs atouts. Christelle porte une de ses petites jupes courtes qu’elle affectionne et qui soulignent le galbe de ses jambes. Suivant sa position, on devine la lisière des Dim up qu’elle porte. Son chemisier crème laisse deviner par transparence sa poitrine portée bien fièrement sans soutien-gorge. J’ai bataillé ferme pour lui arracher cette concession quand nous nous sommes habillés avant de partir. Elle trouvait que c’était bien trop déshabillé pour un week-end entre amis. - « Justement Seb et Lisa sont nos amis, il n’y a pas de gêne à avoir. Et puis tu ne risques rien avec ...
    ... lui vu que ce n’est pas ton genre d’homme. » avais-je répondu sans malice. Plus d’une fois lors de l’apéritif, je surprends le regard de Sébastien glisser sur sa poitrine ou plutôt, ce qu’il était convenu d’appeler un appel au crime. Parfois gêné au début quand il voit que j’ai surpris ses regards, le temps passant et l’alcool aidant, il ne fait plus cas de ma présence et ne se gêne plus après quelques verres pour admirer songeur le corps de Christelle. Lisa quant à elle, fidèle à son côté « nature » porte une jolie robe à bretelles, courte, en coton noir, sans manches, fermée devant par des boutons. Tout à son avantage dans cette tenue légère, elle virevolte autour de nous, consciente de l’effet qu’elle fait en servant et desservant les amuse-bouche. À plusieurs reprises j’ai constaté que sous son léger voile de coton, elle non plus ne porte pas de soutien-gorge, laissant libres ses adorables seins. Son décolleté, sans être vertigineux me met dans tous mes états et je retiens mes yeux en même temps que mes pensées pour participer à la discussion. Seb et moi, plutôt classiques, portons une chemise, la mienne à manches longues sur un pantalon de toile, slim. Me connaissant, je commence à regretter ce choix : capable de bander très vite je sais que la moindre érection sera remarquée par tout le monde avec un pantalon aussi moulant. D’autant plus qu’il y a ce soir-là quelque chose d’électrique dans l’atmosphère. Plusieurs fois, lors du repas, je sens le pied de Lisa frôler le ...
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