1. Le joli mois de Mai. 1ère partie : Angers


    Datte: 13/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... quand, ensemble, nous lâchons un cri…L’eau sur notre peau est devenue froide, glacée même ! Comme par magie, à cet instant, la cavalcade des pas de Sébastien et Lisa retentit dans l’escalier. Ces deux-là, n’ont rien perdu de nos activités, pour être aussi réactifs. Seb entre le premier dans la chambre d’amis, le rouge aux joues, vêtu d’un simple boxer qui laisse deviner une trique impressionnante. Christelle a eu à peine le temps de mettre autour de son 90B une serviette de toilette. Bien trop courte, elle ne lui arrive qu’en dessous du nombril, ne cachant rien de son intimité. Son sexe gonflé perle encore de gouttes d’eau et de sperme mélangés. Ses cheveux mouillés, répandus en boucles sombres sur ses épaules, lui donnent un air de Vénus sortie de l’eau. Le coup d’œil furtif de notre ami sur elle, provoque en retour chez ma femme un de ses regards dont elle a le secret et que je croyais être le seul à provoquer. Un mélange de fièvre et de détermination, un soupçon d’orgueil aussi à l’idée de faire bander un homme. Lisa arrive sur ces entrefaites, ne portant qu’une nuisette sous laquelle ses seins pointent fièrement. Je commence à soupçonner un guet-apens, tout se mettant en place de manière bien trop évidente. Loin de se calmer et en dépit du froid, mon érection un temps compromise, reprend. Je suis là, le sexe tendu vers mon amie en présence de son mari et de ma femme. Tous haletants, sous l’effet conjugué de leur course, de nos ébats et de la surprise. Sébastien prend la ...
    ... parole en premier : - « On vous a entendu crier, que se passe-t-il ? ». - « Il n’y a plus d’eau chaude visiblement ! » lui répondis-je, nu comme un ver, le sexe triomphant - « Je vais voir » dit-il en tournant les talons, non sans jeter de nouveau un coup d’œil, soutenu cette fois sur Christelle qui s’est assise sur le lit, les jambes croisées, le buste en arrière, impudique et sensuelle. Passant devant sa femme, il sort de notre chambre et se dirige vers le garage dans lequel se trouve la chaudière. J’entoure une serviette autour de ma taille et le suis bêtement. Loin de s’effacer pour me laisser passer, Lisa reste stoïque dans l’embrasure de la porte si bien que je ne peux que glisser le long de son corps. Du haut de mon mètre 80, je domine sa frêle silhouette, mais c’est elle qui me toise, encore plus effrontée que lors de notre repas. Le bassin en avant, les lèvres entrouvertes, ses seins gonflés, tendus au travers de la fine nuisette de soie et ces effluves de femme, mélange de sueur, de désir : l’odeur de l’amour, l’odeur du sexe… Tout en elle me perturbe au point que je crois avoir rougi. Je rejoins donc notre ami dans le garage sans trop savoir pourquoi, mes compétences en plomberie se limitant à appeler un professionnel au moindre problème. Là, rapidement Seb repère l’origine de la panne et rassuré sur son installation me propose de retourner vérifier si l’eau chaude commence à couler de nouveau. Je retourne dans la chambre d’amis. Le spectacle qui s’offre à moi me ...
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