1. Le joli mois de Mai. 1ère partie : Angers


    Datte: 13/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... mien. À d’autres moments son regard soutient le mien avec plus d’effronterie que d’habitude. Je me prends à rêver que ce soir peut-être l’occasion fera le larron, mais non !... Rien ne se passe et l’heure de nous coucher arrive trop tôt car nous avons prévu le lendemain de partir de bonne heure faire un jogging, les filles d’un côté et les garçons d’un autre. Un peu frustré et légèrement éméché, je propose à Christelle de profiter de la nouvelle salle d’eau pour prendre une douche bien chaude. J’ai, bien sûr, une idée derrière la tête, l’attitude de Lisa m’ayant bien émoustillé. Me rejoignant nue, Christelle n’a pas l’air si surprise que cela en voyant mon sexe déjà bandé. A-t-elle remarqué elle aussi, le jeu de notre hôtesse ? L’eau chaude coulant sur nos corps nous fait le plus grand bien, et nous commençons à nous caresser. Sa main va et vient sur mon sexe tendu et mes doigts ont trouvé son sexe chaud et humide. Son clitoris est gonflé d’excitation. C’est elle qui fait allusion au comportement de Lisa et le rapproche de mon érection : - « Elle te plait n’est-ce pas ! » Ce n’est pas une question mais bien une affirmation. Sa main me branle en me serrant de plus en plus fort et son regard planté dans le mien me dit que cela lui plait. - « Dans ton délire, tu n’as même par remarqué le manège de Seb avec moi ! » me dit-elle. Ainsi ces deux coquins s’étaient mis en tête de nous chauffer les esprits ?… - « De son côté, il n’a pas arrêté de me toucher pour un rien, de passer ...
    ... derrière moi en me collant pour me servir du vin, en posant sa main sur mon épaule… Et toi…tu n’as rien vu… ! » Sa main continue ses aller-retour sur mon sexe de plus en plus dur et je sens que l’évocation du petit jeu de Sébastien la fait mouiller davantage. N’y tenant plus, je la plaque sans qu’elle me résiste, contre la paroi de la douche. J’attrape sa jambe, la relève en l’écartant et la pénètre d’un long coup. Elle ne peut retenir un cri et me dit à l’oreille de sa voix sensuelle, qu’elle est terriblement excitée : - « Prends-moi fort, j’ai envie de baiser ! ». Je la soulève presque à chaque coup de queue et je sens son corps qui tape sur la cloison. Le bruit de l’eau ne doit certainement pas couvrir tous nos gémissements. Les effets de l’alcool aidant nous nous lâchons vraiment et nous enchaînons les positions : elle me présentant sa croupe, moi la prenant à la hussarde, sabre au clair ! Sans égards pour elle, je la transperce et elle en redemande. Elle jouit très fort mais, la laissant à peine reprendre son souffle, je la soulève pour la laisser s’empaler sur mon sexe. La cloison de la douche ne touchant pas le plafond, elle s’y accroche et se laisse littéralement tomber sur moi. À mon tour je jouis avec force et me vide, pris de soubresauts dans un long râle. Là encore, à moins d’être devenus sourds, nos amis ne peuvent rien ignorer de nos activités sous la douche. Nous reprenons donc notre souffle en nous caressant mutuellement. Christelle m’embrasse frénétiquement, ...
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