Comment je me suis fait soumettre par une tête à claque
Datte: 14/12/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... penche vers lui et lui susurre : "Ça me va très bien mais je suis à pied." En tout cas il ne m'a pas menti, en à peine dix minutes de marche, on se retrouve au milieu des beaux quartiers, au pied d'un immeuble clairement aisé. Ce jeune a les moyens, ce sont sûrement ses parents qui lui payent son loyer. Au moment de pénétrer dans le hall de l'immeuble, il se tourne vers moi et me lance, inquisiteur : "Je te préviens tout de suite, je suis actif et j'aime prendre les devants... Si tu vois ce que je veux dire. Si ça ne te convient pas on laisse tomber tout de suite." Le contraire m'aurait étonné. Il m'énerve toujours autant, mais il m'excite. Bordel qu'est-ce qu'il m'excite. Il a gagné, son petit jeu doit-être rodé, il m'a complètement sous son emprise : "Tout ce que tu voudras." je lui réponds, et j'essaye de m'avancer pour l'embrasser. Échec critique, il fait volte-face avant même que je n'ai pu y arriver, et il monte les marches quatre à quatre jusqu'au troisième étage. Arrivé en haut, on pénètre dans un appartement d'au moins soixante-dix mètres carrés. Décoré très finement, il a du goût. Il a du avoir une éducation bourgeoise. Un coup d'oeil à sa bibliothèque me permet de constater Sade aux côtés de Sénèque, et d'en conclure qu'il est aussi cultivé. "Regarde-moi. lance t-il sèchement. Il n'y a rien d'autre à voir dans cette pièce." Il a coupé court à toutes mes réflexions, en l'espace d'un instant il n'y a plus que lui. Jeune dominateur d'à peine dix-neuf ans, face à moi. ...
... Me regardant de haut, avec son air hautain. "Mets-toi à genoux et déshabille-toi. Je t'ai prévenu avant de monter, tu as accepté mes conditions. Maintenant tu m'obéis." Comme ça, sans détours. En tout cas, cette journée commence à prendre un tour intéressant. Me voilà donc esclave sexuel pour la soirée. Ainsi soit-il, il a beau avoir une tête à claque, il n'est pas laid. Et je dois avouer que son tour de force psychologiquement sur moi me laisse pantois. Le fait de m'être fait retourner le cerveau de la sorte, par quelqu'un d'aussi énervant, au point d'en venir à lui obéir au doigt et à l'oeil, m'excite au plus haut point. Alors je m'exécute, à genoux, devant lui, j'ôte ma chemise et le regarde, docile, attendant la suite. "- C'est bien. me dit-il en ôtant son t-shirt à col en V et ses chaussures, dévoilant un torse fin, orné de deux tétons si petits qu'ils sont pareils à des boutons, et deux pieds complètement lisses et dénués de poils. Je parie que tu connais la chanson, tu as l'air d'être un habitué de ces choses là, donc à partir de maintenant tu sais comment tu dois m'appeler. Pas vrai ? - Maitre ?" Il me donne une douce caresse sur la joue et termine en m'effleurant le menton. "- Exactement. Tu m'appartiens donc pour la soirée, je ferai de toi ce que je veux. Je te ferai du bien... et du mal. Si tu ressens le besoin de ralentir les choses, que tu penses que j'y vais trop fort tu diras le mot 'Jaune' si tu veux que j'arrête complètement et que je te libère, tu diras le ...