1. Comment je me suis fait soumettre par une tête à claque


    Datte: 14/12/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... mot 'Abeille'. Sache que dans le cas suivant, tu ne pourras plus jamais me revoir, et je considérerai que tu me mérites pas." Sur ces mots il s'approche, me saisit les tétons et les tournes avec force. Je ne peux retenir un petit gémissement. "- Est-ce que c'est bien compris ? - Oui Maître. - J'aime mieux ça. Tu gardes tes mains dans ton dos tant que je ne te dis pas de t'en servir. - Comme vous voudrez Maître." Il recule d'un pas, puis baisse sa braguette. Il a une bite magnifique, elle n'est pas particulièrement grosse, mais son gland dont la teinte rose donne un air particulièrement appétissant est parfaitement formé. "- Suce. Et prends ton temps." Je m'approche, à quatre pattes. Saisis l'engin et l'engouffre dans ma bouche, serrant bien mes lèvres autour, et titillant le bout du gland avec ma langue. La sanction ne se fait pas attendre, il se retire et me lance sèchement : "Non. J'ai dit prends ton temps. Retourne-toi et lève le cul." Ce-disant, il commence à retirer sa ceinture de son pantalon. Je comprends que ça va chauffer pour mon matricule, et je m'exécute fissa, baissant mon pantalon. Il plie la ceinture en deux et me lance : "Tu en auras cinq, en punition. Je veux que tu comptes à voix haut. Ne te trompe pas sinon je recommence à zéro." A peine a t-il prononcé ces paroles que la ceinture s'abat sur mon derrière relevé. Je ne m'y attendais pas, j'en oublie de compter. "Je croyais t'avoir dit de compter. Celle-ci ne compte pas. Si tu n'es pas obéissant ça ne va pas ...
    ... bien se passer entre nous tu sais." Je ravale ma salive. Bon Dieu qu'il est sévère. Lui, il ne rigole pas. A croire qu'il a fait ça toute sa vie. Il recommence... Clac ! "Une"... Clac ! "Deux"... Clac ! "T... trois" je tressaille, je sens que mes fesses commencent déjà à rougir. Il n'y va pas de main morte. Clac ! "Quatre."... CLAC ! "Cinq. Merci Maître." la dernière est une apothéose, il y a mis toute sa puissance. J'ai le derrière qui brûle. Et dire que ce n'est que le début. "Bon, on reprends. Et cette fois tu prends ton temps, sinon ce sera dix." Je relève mon pantalon, et me retourne. "Non, enlève-le complètement, je veux que tu sois nu." Je m'exécute le plus vite possible de peur de reprendre une correction. Je suis désormais complètement nu, alors que lui est simplement vêtu de son pantalon. Je me sens humilié. Être là, à genoux devant lui, nu, alors que lui est habillé et debout. Il me regarde d'en haut, son regard est plein de dédain. Je m'approche de lui, saisis sa bite en le gratifiant de mon plus gros air de salope et le décalotte tout doucement, en couvrant son gland de baisers langoureux. Je pose mes lèvres haletantes de toutes parts, en le branlant en rythme. Le tout sans briser le contact visuel, il doit avoir une sacré vue de là-haut : un esclave dévoué, prêt à tout pour le satisfaire, embrassant son engin comme si c'était l'amour de sa vie, et le regardant, droit dans les yeux, d'un regard à la fois soumis, et lubrique au possible. Je crache sur son attribut ...
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