1. Les nonnettes (1)


    Datte: 09/08/2017, Catégories: Divers,

    ... par accident, l’air innocent, m’habillant, me déshabillant lentement face au judas et non plus face au mur. Puis je me fis direct, provoquant. L’œil lubrique fixé sur la porte, j’exhibais longuement poils, membre, couilles et trou du cul, fesses écartées, aux regards du carré vicieux. Debout sur mon lit – car l’ouverture était haute – j’écartais les jambes, ma bite tirée vers le haut entre deux doigts par le bout, je balançais, agitais et secouais mes couilles, les affolais. Souvent, je faisais battre à mon membre libre la mesure d’une musique endiablée. À pieds-joints, je sautais, trépignais sur le sommier grinçant, et ma queue moulinait un riff de batterie. Parfois, je gardais mon slip étroit, sortais ma nouille pendante d’un côté, les testicules de l’autre après les avoir fait rougir en les malaxant ; puis, tirant sur l’élastique de ma taille, j’animais le tout, jouais Guignol. Le gendarme brandissait son bâton ? Je tapais mon gros membre bandé dans une main. C’était leur histoire préférée, avant qu’elles ne retournent se branler en cellule. Des « Oooooh », des « Aaaah ouiii » des « Huuuuuu… ouiii, ouiii », bruits mouillés et respirations haletantes me le confirmaient. Puis je me retournais, écartais les jambes, me baissais et elles me mataient les couilles… « Descends ton slip, montre-nous ton trou du cul. » Je l’enlevais et des deux mains, je m’ouvrais large le cul en tirant sur mes fesses poilues. « Ne bouge plus ! » Et ça pouvait durer dix minutes. Les glissements ...
    ... derrière la porte me disaient les changements de mains, les tournées de matonnes, la relève de la garde. Je trouvais un beau jour, entre deux images pieuses, un cierge, un lourd et long cierge blanc fiché tout droit sur ma petite table. La mèche en était coupée et le bout, arrondi. L’invitation ne pouvait être plus claire. Le comble, je ne l’appris que plus tard, c’était sans aucune malice, un véritable cadeau de quelque vraie bigote. Légèrement revu et corrigé, il est vrai, par la préposée au ménage ce jour-là. Cette garce voulait être sure que je puisse m’enculer profondément, que je donne un spectacle à les faire baver de partout. Je me souviens d’un matin où une seule voix rauque me fit rester une demi-heure les fesses écartées. Entre deux sanglots elle me guidait. — Écaaarte… Écarte tes fesses. Ouvre-moi ce trou du cul. Aaaah ouiii. Plus, plus… J’ai des jumelles, je veux tout voir. — Rentre un doigt, ouiii ! Va au fond, bouge-le… Oui… Oooooh ouiiiiiiii ! Plus vite, plus viiiite… Remue tes fesses, s-sors-le, re-remets-le… Tire ton trou vers le haut… Tire vers le bas… Élargis ton cul à droite, à gauche ! Ouvre plus, pluuuus… Ouiii… Encoooore… — Bouge-le, fais parler ton trou du cul. Comme ça, oui, pousse, pousse à chier… — Mets-y deux doigts, ouvre bien ! Force, foooorce ! Aaaaaaah, n’arrête pas… Encule-toi avec le cierge… Enfonce… Plus loin, enc-enc-encore… Plus profond… Aaah, tes couilles brunes sous la cire blanche… Aaaaah ouuuiiiiiiiiiiiiii, mmmmm. C’est bon, mmmmmmm. Mon ...