1. Les nonnettes (1)


    Datte: 09/08/2017, Catégories: Divers,

    ... anus devint anneau élastique, pâte à modeler sous ces ordres. La pratique l’assouplit si bien que ce jour-là j’y mis quatre doigts au fond sans difficulté et avec plaisir. — Prends ces photos de nos culs. Montre-moi comment tu encules. Branle-toi, montre ton gland, crache dans ta main, décalotte, sors-le, crache, fais-le briller. — Mmmm, ooooohhhh, oouuhhhh, aaaahhhh, humpfhumpffff, ouiii ! Encoooore… Aaaah… aaahhh… aahh. Ton cul ! Viiiite… Montre ton cul… Écarte les jambes que je voie tes couilles… Bouge-les ! Mmmmm, tous ces poils noirs… Mmm, mouille-les ! Je pris le broc et m’arrosai les fesses. — Mmm… Mmmm… Mes sœurs, visez-moi ces couilles poilues qui gouttent… Mon Dieu, mon Dieu ! Branle-toi… Gicle ton sperme, montre-nous ton foutre… Ouiii, plus viiiiite… Plus fort… Décalotte ton bout. Serre-le. Fais-le gonfler. Fais-le rougir… Gicle ton jus, envoie-nous ta crème ! fdsfuurk Ça n’en finissait pas. Tu imagines ? Me faire mater vingt-quatre heures sur vingt-quatre par le judas. Que je me branle ou que je pisse. La nuit, elles venaient avec une lampe de poche. — Montre-nous ! Viiiite, allez, montre. Je ne suis pas du genre soumis, mais qu’y faire ? La situation dictait les règles. J’étais le prisonnier, elles étaient mes matonnes. La nourriture était de qualité ; elles me gâtaient pour que je les gâte à leur tour. De la nourriture saine et tonique. Beaucoup de vitamines. Parfois trop. À ce régime, je risquais le foudroiement en plein vol, le jour de l’Ascension, panne de ...
    ... moteur ou attaque surprise des corneilles en rut. Elles savaient choisir leurs photos, les garces… Où les trouvaient-elles ? Pas dans des magazines : elles semblaient toutes faites au couvent. Photos prises dans les petites cellules. On voyait des silhouettes, de vagues ombres autour du sujet. J’imaginais bien ces séances – au vu de la qualité de certaines photos, elles avaient du bon matériel – et leurs dialogues : — Sœur Marie de Conzague, ouvrez mieux votre cul. Avez-vous peur qu’il serve à autre chose qu’à chier ? Pensez, poussez, pensez à notre prisonnier… Montrez-le-lui grand ouvert ; nous pourrons le regarder se branler. Songez à ce festin si vous ouvrez large votre sublime anus. Le plus beau trou du cul de tout le couvent, vous le savez… Il s’agrandit et embellit vicieusement d’année en année. — Pensez à l’homme, au mâle de la cage, et faites-le-nous juter jusqu’au plafond avec votre trou du cul de mystique. On vous gardera la meilleure place à la lucarne ; vous verrez gicler tout son yaourt. Réussies, ces photos nous en promettent des litres ! — Allez-y avec les doigts. Tirez, nom de Dieu ! Ouvrez, montrez-nous, montrez-lui, pensez à lui… Pensez plus fort, poussez plus fort. Concentrez-vous : imaginez qu’il veut voir comment c’est fait dedans, sortez vos boyaux ! Avec deux doigts, oui ! Là ! C’est pas mal ! Clic-clic… — Même chose, avec quatre doigts maintenant, et poussez encore. N’ayez peur de rien, il y a un pot entre vos jambes. — Là ! Oui, c’est beau… Une vraie ...