Qui va à la chasse...va à la chasse.
Datte: 15/12/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
hplusag,
frousses,
rousseurs,
alliance,
fépilée,
forêt,
Collègues / Travail
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
humour,
... pas aux films pornos, une gorge profonde peut flatter l’ego, mais le point sensible se situe sur le museau de la bête, c’est là que tu lui procureras le plus de plaisir. Voilà, comme ça c’est bien, délicatesse des lèvres, agilité de la langue. Si tu veux vraiment lui faire de l’effet, tiens bien la base avec une main, et de l’autre caresse Castor et Pollux. Mon métier ne m’a pas préparé à ça, mais il faut un début à tout, accompagnateur sexuel, il y a pire. Peut-être existe-t-il des formations, des stages ? — Que penses-tu du résultat, demande la blonde souriante, alors que sa belle-fille goûte ma production tel un sommelier.— Il est long en bouche, il est rond, il a de la cuisse, il est fruité, avec des saveurs de fruits des bois et des notes de résine.— Normal pour un forestier, tu peux être certaine que c’est bio ! Je ris, mais je n’en peux plus. Œnologue, c’est pour le vin, mais pour le sperme, comment nomme-t-on cela ? Je n’attends pas le retour des Nemrod en herbe et rentre chez moi, en promettant de revenir demain séance tenante. – Mardi – Manque de pot, à 8 heures 30 un brouillard à couper au couteau empêche mon collègue et son client de sortir. Mes deux clientes, habillées et pomponnées me supplient de les emmener hors de cette purée de pois. — Je peux venir avec vous, demande le vénérable.— Non mon doudou, repose-toi, il te faut reprendre des forces pour cet après-midi ou demain, j’espère que tu vas nous ramener un 16 cors.— Tu as raison mon ange, je vais faire une ...
... petite sieste. Mon ange ? Les anges possèdent vraiment de bien beaux sexes, je vais devoir en avertir le Vatican. — Nous allons sur un point culminant, nous serons au-dessus des nuages, la vue promet d’être sublime.— Nous ne demandons qu’à vous croire. Nous vous suivons avec joie. Nous embarquons dans mon véhicule de fonction, sous le regard intrigué de mon collègue. Mes deux clientes ne perdent pas de temps. À peine hors de vue du gîte qu’elles se déshabillent déjà. — Tu crois que le temps va se lever ?— Oui, sans aucun doute, réponds-je alors qu’elles ne portent plus que leurs culottes Petit Bateau. Effectivement, au bout de quelques kilomètres dans la brume épaisse, nous émergeons à la lumière. Au-dessus de nous un ciel azur, à quelques dizaines de mètres sous nos pieds, les nuages à perte de vue, une mer de nuages blancs, lumineux, seuls quelques petits bouts de terre surgissent des flots vaporeux, tels des îlots dans un océan de rêves. — On se croirait dans un avion, jubile Lise, qui prend des photos du paysage, de nous trois, histoire de garder un souvenir.— Venez, j’ai apporté du café et des croissants. Allons dans cette petite construction.— C’est mignon, qu’est-ce que c’est ?— Une vigie DFCI, elle est fermée à cette époque.— Mon mari ou ton collègue ne risquent pas de venir jusqu’ici ?— C’est mon territoire, et nous ne sommes plus dans la zone de chasse en licence. Donc pas de souci.— Tu nous rassures, affirma Valérie, nous avons du pain sur la planche.— De plus, il ...