Qui va à la chasse...va à la chasse.
Datte: 15/12/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
hplusag,
frousses,
rousseurs,
alliance,
fépilée,
forêt,
Collègues / Travail
entreseins,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
humour,
... fait froid, ajoute Lise, dont les tétons se dressent. D’abord, les baisers, deux longs baisers langoureux et baveux. Quand j’en embrasse une, l’autre me déshabille pour ne pas perdre de temps. — Passons aux choses sérieuses, se réjouit Lise. Outre une couverture, j’ai aussi amené un matelas gonflable, de la boisson et de la nourriture. Nous serons à l’aise. — J’ai oublié des préserv’…— Faut pas prendre nos fesses pour un bal masqué. Tu esclean, nous aussi. Je me le tiens pour dit. — Une petite question indiscrète, dis-je alors que je baisse les petites culottes, je vous voyais plutôt en strings.— Pas d’obscénités s’il te plaît, le string est inconfortable, non hygiénique.— Et d’un vulgaire, ajoute la fifille à son papa. Je suis peut-être vieux jeu, mais je suis d’accord avec elles, il faut laisser une part à l’imaginaire, ne pas tout dévoiler du premier regard. Trêve de philosophie, consacrons-nous aux choses sérieuses, tout d’abord un petit baiser sur chaque fesse. — Ouvre-nous avec ton grand poignard de velours. Non contentes de posséder des corps de déesses, ce sont d’adorables poétesses. Je ne peux que me plier à leurs désirs. Plier est un verbe bien inapproprié vu mon état. Toutes les positions y passent, le Missionnaire, la Levrette, le Koala en folie, le Kangourou bulgare, la Cavalière déchaînée, le Tonneau de Marlenheim et le Flamand Rose. Debout, assis, couchés, moi dessous, ou l’inverse, en travers, la tête en bas, en biais, sur une jambe, tout est tenté. Je ...
... pétris des fesses et des seins à ne plus savoir où donner des doigts. Elles m’ont usé. Six fois le grand chauve dépose ses offrandes dans les précieux tabernacles, six fois en une journée, presque un record, veillant bien à ne point faire de jalouses, autant à l’une qu’à l’autre. La dernière fois, je dois avouer qu’il ne reste pas grand-chose à déposer, à ma décharge – si j’ose m’exprimer ainsi – je n’en peux plus. Elles s’en rendent compte et me remercient. Entre chaque épisode de frénésie, nous sortons pour récupérer des forces, manger un peu, boire un coup et prendre quelques photos des environs. Un pin tordu, une montagne au loin, un circaète qui nous épie, de la bruyère en fleurs. Assises sur une roche, mes deux beautés laissent s’écouler de leur fleur un abondant mélange fait de mes offrandes et de leurs propres sécrétions. Des abeilles viennent butiner avec avidité cette provende, Dame Nature me surprendra toujours. — Je suis émerveillée, tu crois qu’elles vont en faire du miel ? s’extasie la belle rousse en photographiant les insectes.— Si les abeilles le récoltent, c’est qu’elles savent déjà quoi en faire. Nous prenons les dernières photos, celles du coucher de soleil. Je les laisse devant leur habitation en promettant d’être là demain à la même heure. Un message sur le répondeur me félicite, c’est mon patron. — J’ai eu des échos de votre travail. Le chasseur est heureux, sa fille et son épouse ne tarissent pas d’éloges sur vous. Félicitation, continuez ! Je m’endors ...