Voyages - Histoires de Sexe

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... haute, avec des mots forcément imparfaits, la rendra encore plus crue et impudique. Braise s’y plie avec joie : — Si j’ai souffert, je ne m’en souviens pas. Ce n’était pas non plus le plaisir… franc que je ressens avec mon sexe, ou même mes seins quand je suis bien chaude. Non, c’était beaucoup plus trouble et… fort, épicé. Mais j’ai vraiment apprécié ! C’était surtout terrible quand il bougeait sa bite, ça me dévastait. Pendant ce temps, Estelle s’est glissée à nouveau sous moi, m’offrant les troublantes oscillations de son généreux fessier, avant de se retourner une fois mon entrecuisse atteinte, et de commencer à me lécher avec ardeur. Ses mains ne restèrent pas longtemps inactives, écartant mes lèvres pour permettre à sa langue de me baiser, et de lécher la queue qui avait investi la cavité mitoyenne. Je te laisse imaginer mon état…— Tu oublies que je le ressens en ce moment même ! Tu aimes te dévoiler ainsi à moi, hein ?— Je t’avais promis que je serais à toi « corps et âmes »… Et pendant que ces deux démons me ravageaient le bas-ventre, j’oscillais doucement, gémissant, caressant de ma poitrine ce ventre de fille. Et surtout, à quelques centimètres de mes yeux, ce sexe féminin, tentateur, grand ouvert – car cette petite salope avait évidemment écarté ses cuisses au maximum… J’ai pris le temps de le regarder, c’était la première fois que je pouvais en voir un de près, offert qui plus est !— La première fois ?— Ben oui, gros malin, les filles c’est pas fait comme les ...

... garçons, on n’a pas la chance d’avoir une vue directe sur notre intimité, nous ! Même avec un miroir, ça n’est pas très pratique. Quant aux photos et vidéos, y a pas à dire, ça ne vaut pas la réalité… Enfin bref, après l’avoir bien observé, j’ai répondu sans hésitation à son invitation, retrouvant avec plaisir sur ma langue la saveur que j’avais déjà goûtée sur les lèvres d’Ivan. J’ai ainsi pu explorer ses ultimes recoins des yeux, de la main et de la langue, lui rendant un peu maladroitement ce qu’elle m’offrait. Enfin, quand j’étais en état de le faire ! On est restés comme ça un petit moment, dans une espèce d’orgasme à rallonge, jusqu’à ce que mon étalon accélère brusquement le rythme, Estelle profitant de mon inattention pour me fourrer je ne sais combien de doigts dans la chatte. Je suis partie presqu’instantanément, le garçon n’a pas tenu beaucoup plus longtemps à cette cadence, et je crois que même sa copine a joui, malgré mon manque d’assiduité envers elle. On s’est assez vite endormi tous les trois enlacés, dans cette chambre saturée d’odeurs de sexe, mon cul plein de foutre, j’étais bien. Au matin, j’ai été réveillée par de douces sensations au creux de mon ventre : la fille était en train de me lécher, pendant que son compagnon la prenait en levrette. Ça m’a vite fait oublier mon cul en feu ! On s’est quittés après le p’tit déj…— Ben dis donc… En tout cas, tu en gardes un souvenir très vivace !— Évidemment, c’est l’une de mes toutes meilleures expériences.— Et tu n’as ...