Voyages
Datte: 09/08/2017,
Catégories:
fh,
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couplus,
hépilé,
fépilée,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
fgode,
pénétratio,
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fsodo,
jouet,
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confession,
sf,
... jamais ré-essayé la sodomie, ensuite ?— Ben non ! En fait je crois que, autant ma petite chatte peut apprécier une certaine brutalité virile, autant mon petit cul a besoin de douceur, de délicatesse, et ce n’est pas monnaie courante chez les mâles, surtout parmi ceux qui traînent sur nos territoires de chasse habituels !— Tu aurais pu essayer avec une fille, non ?— Oui, peut-être, mais bon… D’abord, c’est quand même plus délicat à trouver. Et puis, je préfère les garçons, et les occasions n’étaient pas si nombreuses, finalement.— Tu es une genre de « bi occasionnelle », quoi ?— Ben oui, je crois qu’on peut dire ça… Et toi, tu te classes où, hein ? Ainsi que Braise l’a subodoré, son frère n’est pas particulièrement pressé de répondre à cette question. Il choisit donc de rouvrir les hostilités : — Tu parles trop !— Tu veux me bâillonner ?— Et avec quoi te bâillonnerais-je ?— Hmm… Laisse-moi réfléchir… Pervers comme t’es, je dirais que tu utiliseras ma petite culotte ? Seul un petit sourire vicieux lui répond. Puis il se penche, ramasse le petit bout de satin et l’enfile autour de sa tête. Il lui plaque quelques instants l’entrejambe du sous-vêtement sous le nez, afin qu’ils partagent les puissantes fragrances qui en émanent, avant de l’insérer petit à petit entre ses lèvres, entre ses dents, dans une bouche qui en salive d’avance. Elle mord avec délices le tissu imbibé de leurs sucs les plus intimes, lui faisant partager ces saveurs secrètes mais guère discrètes. Emportée par ...
... ses fantasmes, elle mâchouille à travers ce symbolique bâillon : — Tu ne vas pas t’arrêter en chi bon chemin, quand même ?— Tu en veux encore ?— Bande-moi les j’yeux, ch’il te plaît…— Et c’est moi le pervers ! À défaut de matériel plus approprié – il n’aurait jamais pensé qu’ils puissent aller si loin dans ce type de jeu –, il attrape un bas noir assez opaque, et l’entoure plusieurs fois autour de sa tête. Il mime l’impatience : — C’est bon ? On peut passer aux choses sérieuses, maintenant ? Provocante, elle rétorque : — Non ! Je n’me chens pas encore chuffisamment à ta merchi… Attache-moi.— …— Les bras, au moins. Je veux être totalement pachive, un corps uniquement fait de chenchachions. Je veux être… je veux être ton inchtrument de mujique !— Et si je décide de casser ma guitare à la fin du concert ?— Tu n’es pas comme cha, je chais que tu n’en cherais même pas capable. Je te fais confianche.— … D’accord. Mais on en reste aux mains pour cette fois-ci. On n’a ni le temps ni le matériel pour t’attacher sérieusement, de toute façon.— Aucune importanche ! Ch’est le gechte qui compte. Il récupère alors le frère jumeau du « bandeau » de ses yeux, lui ramène les bras dans le dos et enserre ses poignets dans le nylon élastique, terminant par une clé gansée très facile à défaire – plus pour se rassurer lui qu’elle, manifestement. Aveuglée, frissonnante de plaisir, elle suit, à travers son corps et les yeux d’Ardent, l’annihilation symbolique de sa liberté de mouvements. Filant la ...