1. Pirates!


    Datte: 18/12/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... yeux injectés de sang. Ils devaient être drogués à mort... Ils lui gueulaient dessus "- AMERICAN!!!! AMERICAN!!!!!" Jean-Jacques répondait " NO FRENCH, FRENCH, FRENCH PEOPLE!!!!!!" Mais ils continuaient à le frapper en vociféraient "AMERICAN AMERICAN NO FRENCH FRENCH" Les sauvages avaient commencé à piller le voilier et à récupérer tout ce qui pouvait se récupérer sur le pont. D'autres étaient descendus et ils fouillaient le voilier. D'abord, il y avait eu des cris, des braillements de joie, des exhortations, des applaudissements. Des éclat de rires d'hommes, de l'hilarité. Des appels dans leur dialecte car tous ceux qui étaient sur le pont étaient descendus dans le voilier, laissant Jean-Jacques sous la garde d'un seul pirate. Un très jeune, qui lui aussi mourrait d'envie d'aller voir ce qui se passait en bas. A son regard, Jean-Jacques avait bien compris que le mec drogué hésitait à lui tirer une rafale à bout portant.... Puis il y avait eu les cris, les hurlements, les pleurs et les plaintes des deux femmes. Il y avait aussi eu des ordres. Certainement des commandements des chefs. Les deux femmes étaient apparues sur le pont du voilier. Enfin disons plutôt qu'elle avaient été hissées, tirées par les bras et par les poignets, poussées par les fesses, littéralement extraites et arrachés de l'intérieur du voilier. Les deux femmes avaient du être sérieusement malmenées et maltraitées, et surtout beaucoup tripotées et pelotées, car le peu de vêtement qu'elles portées était ...
    ... bien défait et en désordre.... Elles étaient apeurées, épouvantée et terrorisées. Elles étaient debout, serrées l'une contre l'autre, sous la garde de quatre ou cinq hommes armés. Les mecs tournaient autour d'elles comme des mouches autour de la confiture. Ils frôlaient, ils se frottaient à elles. Ils avaient les yeux, remplis de désir, qui leur sortaient de la tête. Des yeux de drogués. Ils mâchaient toujours leur espèce de feuilles, le khat. Jean-Jacques lui était à présent gardé par trois autres mecs armés. Parfois ils continuaient à lui donner méchamment des coups de pieds et des coups de crosses. Ils discutaient entre eux en riant tout en regardant les femmes. Pas besoin de s demander ce qu'ils disaient ... Sous les directives de celui qui semblait être le chef, le pillage du voilier avait commencé. Tout allait très vite. Les mecs emportaient tout ce qu'il pouvaient. Des vêtements, de l'agent, l'ordi, etc. mais aussi des coussins de mousse. Un véritable pillage et saccage en règle. Ils récupérer tout ce qu'il pouvaient emporter. Il fallait faire vite. La coque touchée et perforée par un nombre important d'impacts de balles, le voilier commençait à prendre l'eau et à pencher et s'enfoncer dangereusement. Mais tout allait très rapidement. Tout ce qui était pillé était jeté dans les barques. Puis ça avait été au tour des deux femmes d'être mise dans les barques. A ce moment là, grande dispute et palabre des mecs. Tous les voulaient dans LEUR barque.... Ils se querellaient. ...
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