1. Pirates!


    Datte: 18/12/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... Certains voulaient les séparer et les mettre dans différentes embarcations... Mais encore des disputes. Tous les voulaient dans la leur. Le problème avait été vite réglé. Les femmes avaient été transférées dans le skiff du chef... Elles avaient été poussées, tirées, portées même. Elles avaient été obligées d'emprunter l'échelle métallique sous les regards avides des mecs et surtout sans ménagement. Mais pas sans pelotage... Elles avaient atterries dans la barque. On les avait forcées à l'allonger dans le fond de la barque, au milieu des bidons d'essence, des armes, des cordes et pleins d'objets divers. Jean-Jacques était toujours sur le voilier. Il y avait encore eu une grande discussion et dispute même entre les gars. Beaucoup gueulaient "Kill the man!!!! Throw has the sea!!!!!" Il comprenait que certains voulaient le tuer et le jeter à l'eau... Mais le chef insistait "No no American dollars".... IL avait eu la vie sauve à cause de l'espoir de rançon que l'autre espérait toucher. Jean-Jacques avait été littéralement jeté dans le barque du chef. Il avait atterri sur son épaule blessée. Le chef avait donné des directives. Le voilier avait été arrosé d'essence. Les embarcations s'étaient éloignées. Un bouteille remplie d'essence avec un chiffon enflammé avait été jetée. Le voilier s'était immédiatement embrasé et enflammé. Moins de dix minutes après, il sombrait. Plus aucune trace du voilier. Les embarcations fonçaient à toute vitesse vers le cargo, vers le navire-mère. A ...
    ... l'intérieur du skiff, les femmes étaient malmenées par les vagues et les sauts des vagues. Elles étaient secouées et ballottées. Jean-Jacques aussi. Ses blessures lui faisait mal. Il perdait du sang. Ils étaient toujours sous la garde des mecs armés. Les femmes allongées au fond de la barque recevaient des paquets de mer. Cela faisait rire les gars. Ils mettaient leurs pieds sur elles pour les immobiliser et pour les empêcher de bouger, Mais ils mettaient aussi leurs mains pour les tripoter... Après dix longues minutes de navigation très agitée et surtout très éprouvantes pour les prisonnières mais aussi pour le prisonnier, les skiffs étaient arrivés au cargo. Ils avaient été amarrés sur le côté et à l'arrière du cargo. Avec des filets, tout ce qui avait été pillé, mais aussi les armes et les bidons d'essence, avait été remonté sur le cargo. Jean-Jacques apercevait une bonne quinzaine de marins sur le cargo. Jean-Jacques avait été remonté dans un filet comme de la vulgaire marchandise et jeté sur le pont du cargo. Les femmes, elles, certainement par amusements, pour servir de jeux et de distractions, avaient été obligées d'escalader les échelles fixées contre la coque pour monter sur le cargo. Cela n'avait pas été sans peine et pas facile pour elles. Mais elles avaient été tirées par les poignets, poussées par les jambes mais surtout par les fesses. Tout cela sous les rires, sous les applaudissements, sous les exclamations, sous les moqueries des hommes... La première qui était ...
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