1. Mariage (suite et fin) !


    Datte: 10/08/2017, Catégories: ff, fhh, couplus, Oral 69, Partouze / Groupe échange, confession,

    ... me défiler, vrillée déjà sur la bite de Marc. Et le miracle se produit : je sens mon sphincter se relâcher. Il entre, hésite un instant puis, comme un serpent, ondule et rampe dans mon fondement. La pression est énorme. Je sens ces deux bâtons de chair rivaliser pour occuper et défendre leur territoire. Ils sont en moi. Comment puis-je accepter de tels monstres ? Ouf, il est entré. Déjà je suis pleine. Mon ventre ne peut pas en contenir plus. « Ainsi, c’est cela, être prise par-devant et par derrière ? » Con et cul ne forment plus qu’un. Je bouge pour en ressentir les limites. Mais non, je comprends l’expression « se sentir pleine ». Mon mari est dans mon cul… Il se partage l’espace avec Marc, deux colocataires d’un même appartement. Les deux bites essaient de se faire oublier, mais c’est sans compter sur cette chaleur qui prend naissance dans mon ventre. Elle gonfle, m’envahit. C’est plus qu’un simple feu : un incendie, une fournaise, une démangeaison interne. C’est à la fois bon et dérangeant. Je commence par de tout petits mouvements du bassin, mais je sens bien que je suis totalement bloquée par ces deux pieux de chair. Cela suffit pour renforcer encore un peu plus cette impression de plénitude, exactement comme on peut le lire dans des récits… Paul se redresse pour me redonner plus de liberté dans mes mouvements, mais il reste bien enfoncé jusqu’à la garde. C’est moi qui décide de faire glisser doucement les verges, sur quelques centimètres seulement.« Surtout ne pas ...
    ... les faire sortir, de peur qu’elles ne me reviennent pas. Elles sont à moi, rien qu’à moi. » Lentement, je trouve mon rythme. Progressivement, j’accélère, m’empalant sur les pieux de vie et de chair. Je suis de plus en plus sensible, de plus en plus chaude.« Peut-on jouir en même temps du con et du cul ? » En tout cas, les mouvements provoquent une lubrification bienvenue. « Avoir le feu au cul » n’est peut-être pas seulement une expression : la réalité n’est pas loin. Waouh, mon Paul se déchaîne ! Il me bloque contre Marc et décide de jouer cavalier seul. Son sexe me défonce le cul. On peut dire que je le sens passer, mais au bon sens du terme. Sa queue semble plus grosse, plus longue, pressée qu’elle est par son concurrent qui occupe le terrain de l’autre côté de cette paroi que l’on dit si mince, entre con et cul. Ce cri qu’il pousse lorsqu’il jouit et que son sperme jaillit à la vitesse de la lumière est indescriptible. Mélange de « oui, super, c’est bon ». Indescriptible aussi ce frisson qu’il déclenche dans mes entrailles inondées. C’est comme s’il avait appuyé sur un détonateur. Je me transforme en furie, comme si la fin du monde arrivait et que je voulais connaître avant… Les mécaniciens en perdent leur latin. C’est le cylindre qui bouge sur le piston, et non l’inverse. C’est moi qui me baise sur le piston de Marc, toujours aussi long et ferme, attendant son heure. Et elle est arrivée, l’heure. Mes fesses s’écrasent sur ses cuisses avec un ce bruit si typique et si ...
«12...891011»