1. Mariage (suite et fin) !


    Datte: 10/08/2017, Catégories: ff, fhh, couplus, Oral 69, Partouze / Groupe échange, confession,

    ... son boxer, sa verge est apparue en pleine forme. Une verge qui s’est manifestement réveillée depuis longtemps et qui est la preuve vivante du plaisir des yeux que Fleur et moi avons procuré. La petite goutte que je recueille sur la langue est une autre preuve de son excitation. — Lucie.— Fleur. Les deux hommes nous reconnaissent, mais c’est facile. D’ailleurs, Marc triche : il a baissé son bandeau. Mais cela n’a pas d’importance. Le sujet, c’est Paul. Il a accepté et même bandé au spectacle de sa femme avec une autre. Mais est-il prêt pour un vrai échange ? Je suce sa queue avec tout mon savoir-faire. Il bande comme un taureau, gros, fort, puissant, le gland libéré de sa gangue de peau. Je presse ses bourses pour les concentrer en deux énormes olives que je viens lécher. Fleur abandonne son ami pour venir embrasser Paul. Il est entre les mains de deux femmes. Quel homme ne rêverait il pas de cette situation ? Je l’ai en bouche, elle l’embrasse. Fleur me rejoint. Je laisse à dessein ma chevelure frotter la peau de mon mari, marque de fabrique de sa femme. Mais c’est la bouche de Fleur qui vient me succéder. Mon visage est au plus près. Tout cela me rappelle cette nuit où nous étions dans la même situation, avec la différence que c’était la queue de Marc que nous goûtions. Concurrentes et complices. Elle s’active. Paul doit y perdre son latin. C’est sa femme qui le pompe, c’est sûr, il sent ses cheveux. Pourtant, c’est différent. Il comprend lorsque je remonte pour ...
    ... l’embrasser. Un éclair ! Son cerveau n’est pas encore endormi par le plaisir. — Fleur ! Presque une question. Elle l’abandonne un instant. — Gagné. Avant de replonger. Je les abandonne pour profiter du spectacle. Cela me plaît. Quelle excellente idée que ce bandeau et ce jeu. Il change tout. Je comprends maintenant tous ces récits érotiques où il prend tant d’importance. Il apporte une liberté et une spontanéité que la vue peut chasser. J’ai pitié de Marc et le flatte de la main. — Lucie ! dit-il avec un sourire aux lèvres, fier de sa provocation. Paul tourne la tête de son côté. Le temps s’arrête. Quelle réaction va-t-il avoir ? Le message de Marc est on ne plus clair. Lucie le suce. Lucie, sa femme, est en train de pomper un autre. Une queue est entre ses lèvres et ce n’est pas la sienne. Mais il revient vers sa propre maîtresse et dit avec un sourire : — Fleur. C’est comme s’il avait dit clairement son accord. Heureuse, je réponds à l’appel de Marc et l’enfourne entre mes lèvres comme on goûte une sucette longtemps promise. Nos regards nous parlent. Fleur et moi nous nous activons. Pour un peu, je pomperais mon amant officiellement déclaré jusqu’à ce qu’il jaillisse dans ma gorge. Mais Fleur me calme. Elle me tend une capote. Nous les faisons rouler sur le dard de nos amants. L’instant est magique. Sur les hommes maintenant allongés, nous montons pour les chevaucher. Chacune, sous le regard de l’autre, dirigeons le bâton à la porte de notre intimité. La descente est lente, ...
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