Annick
Datte: 20/12/2018,
Catégories:
Lesbienne
... par l’excitation, Gabriela se prit à me lécher le visage, à me baiser les yeux, à me mordiller les oreilles. Délaissant ses seins, je l’invitai à aller s’asseoir sur la banquette arrière, où nous serions plus à l’aise pour poursuivre nos investigations.À ma demande, Gabriela est maintenant étendue devant moi. Comment rêver de plus beau spectacle? De voir cette femme allongée, me dévisageant de son petit air coquin, sourire amusé, la peau légèrement moite, le souffle haletant, m’invite à toutes les audaces. Après avoir soulevé sa robe, je ne peux m’empêcher de m’extasier devant les cuisses larges, puissantes et fermes de Gabriela. De vraies cuisses d’athlète! M’emparant d’une de ses jambes, je frotte ma joue contre la surface satinée de son mollet, tout en le couvrant de baisers. Mes lèvres, de même que ma langue suivent le parcours qui me mène doucement vers l’intérieur de la cuisse. Le mollet de la jambe de Gabriela appuyé sur mon épaule, j’écarte lentement son autre jambe. Ayant déposé la jambe gauche sur le rebord de la banquette du passager, je me glisse furtivement vers le lieu du banquet. Je soulève un peu plus la robe, puis laisse glisser mon visage sur ce ventre frémissant d’impatience. Enivrée par sa chaleur capiteuse, je laissai mes lèvres, puis ma langue glisser tout doucement sur cette mer acajou. Ce n’est pas un délice, mais un véritable festin de reine qui m’attendait. Chaque mordée, chaque sucée, chaque baiser éveillaient mes sens comme jamais auparavant. La ...
... respiration de Gabriela devenait pantelante. À mesure que le rythme s’accélérait, ma compagne me pressait la tête sur sa taille et de plus en plus bas. Parvenue à hauteur de son sexe, j’eus tout le loisir de m’imprégner du doux parfum moite qui en exsudait. En frottant ma joue contre sa culotte, je pouvais sentir la masse de duvet luxuriante qui s’y dissimulait. L’invitant à soulever légèrement son bassin, j’enlevai sa culotte à Gabriela. Il faut dire que son vêtement était fabriqué d’un tissu blanc liseré de bleu très fin, laissant une partie des fesses à découvert. Sans doute espérait-elle secrètement notre petite virée nocturne. Sans me faire prier davantage, j’enfouis mon visage dans la forêt noire et humide de Gabriela. Ayant écarté doucement les lèvres, je laissai ma langue se mouler langoureusement à l’intérieur. Aussitôt, une délicieuse odeur légèrement musquée vint titiller mes narines. Il ne m’en fallait pas plus pour que je commence à me régaler. Au bout de seulement quelques minutes, Gabriela fait entendre ses premiers gémissements.Ses parois vaginales commencent déjà à dégouliner. Comme pour faire écho à ce doux suintement, ses hanches se démènent en contorsions presque frénétiques. Dès lors, Gabriela plonge ses mains dans ma chevelure, puis elle m’enfonce la tête. Je lape consciencieusement tout ce qui me tombe sous la langue. J’ai peine à dégager ma tête pour reprendre mon souffle, tant la pression des mains de Gabriela est forte. Petit à petit, son souffle ...