1. Annick


    Datte: 20/12/2018, Catégories: Lesbienne

    ... plus en plus rapidement.Tout en regardant furtivement s’il n’y avait pas de regards indiscrets tournés vers nous, j’enlaçai la taille de cette femme qui suscitait en moi des rêveries que je n’avais connues depuis longtemps. Elle se laissait faire. La main se baladant sur son ventre ferme, je sentais sa respiration devenir plus intense. Tout doucement, je remontai ma main vers sa poitrine. Je commençais à l’entendre pousser de petits soupirs rauques. Encouragée, je m’emparai de son sein gauche et le pétris fermement. Gabriela battait des paupières de plus en plus vite. De temps à autre, je voyais sa langue humecter ses lèvres de plaisir. Rien que de sentir cette masse de chair ferme et chaude sous ma main me laissait entrevoir les meilleurs moments d’extase. Je posai la main de Gabriela dans mon entrecuisse et lui imprimai un mouvement de va-et-vient de plus en plus énergique. Je ne mis que quelques minutes avant de jouir. Je sentais ma chatte tout humide. J’avais peine à me contenir. Pour m’aider à reprendre mes esprits, je regardai ma montre. Le film était sur le point de se terminer. Avant de retirer ma main de la taille de Gabriela, j’en profitai pour lui caresser subrepticement les cuisses. Elle ne put s’empêcher de pousser un soupir de délicieuse surprise.À la sortie du cinéma, comme il n’était pas trop tard, nous décidâmes d’aller faire une petite ballade en voiture. Ne voulant pas terminer la soirée dans le décor, je me tins tranquille durant le trajet. Toutefois, ...
    ... nous avions encore envie toutes les deux de nouvelles caresses. J’en profitai pour indiquer à Gabriela une route secondaire que je venais de voir annoncée sur un panneau. Après avoir bifurqué, nous roulâmes pendant une vingtaine de minutes. C’est à ce moment que nous aperçûmes une clairière située à proximité de la route. Nous nous y arrêtâmes.Le fait de me retrouver dans un endroit inconnu, aux côtés de cette femme majestueuse, me ravissait d’extase. Après avoir débouclé notre ceinture, nous restâmes quelques instants à nous regarder tendrement, sans rien dire. Tout doucement, Gabriela m’attira vers elle. Je ne demandais pas mieux que de me laisser ravir. Les yeux mi-clos, je me laissai entraîner vers la pulpe rouge, gorgée de désir, des lèvres de Gabriela. À peine nos lèvres fussent-elles en contact, je sentis avec un plaisir ineffable la langue de Gabriela se fondre à l’intérieur de ma bouche. Déjà, mon cœur battait la chamade. Ma langue répondit à la sienne avec une vigueur que je ne lui connaissais pas. Nos bouches s’ouvraient et se refermaient en un synchronisme presque parfait. Cette danse prénuptiale de nos bouches, de nos langues et de nos lèvres, entrecoupée de nos soupirs extasiés, me donnait le vertige. En guise d’accompagnement, mes mains quittaient la chevelure de Gabriela pour plonger dans son corsage. Presque aussitôt, deux masses de chair ferme et chaude, à la symétrie parfaite, me procurèrent un nouveau frisson de plaisir. Je les pétris avec avidité. Subjuguée ...
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