1. Une soumise peut en cacher une autre... (2)


    Datte: 21/12/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Cocu... j’étais cocu. Toute la nuit, je me repassais les images dans ma tête, de Lucie se faisant sauter tour à tour par mon chef puis notre voisin du dessous. Elle, ma femme, paisiblement endormie à mes côtés, comme si elle venait d’avoir une journée des plus ordinaires. Je n’avais quasiment pas dormi, à la fois tourmenté et excité, le sexe dur comme du béton, moi qui n’avais portant plus eu d’érection digne de ce nom depuis plus de trois ans. Même chose les nuits suivantes. Mais dix jours plus tard, je n’avais toujours pas osé en parler à ma femme. Je n’en pouvais plus de m’imaginer des choses. Cet après-midi-là, je décidai de m’éclipser du bureau. De toute façon, le seul qui pouvait me demander des comptes, c’était Marc, mon boss. Mais comme tous les jours en début d’après-midi, il n’était pas là, et je devinais bien où il était... Quoi qu’il en soit, cette fois-ci, j’allais les surprendre pour de bon, smartphone à la main pour me construire une véritable preuve vidéo. Je rentrai donc en douce chez moi, sous le son, comme la première fois, des gémissements de ma femme. Prêt à surgir dans la chambre, smartphone à la main, déterminé... mais aussi tellement excité !... OK ! J’allais d’abord les regarder une ou deux minutes, avant de mettre définitivement fin à tout ce cirque. Deux minutes, et stop ! Une heure plus tard, j’étais toujours caché au coin de la porte de la chambre. Comme hypnotisé par ce qui se passait. Marc avait déjà joui deux fois, et à chaque fois, Lucie ...
    ... s’était démenée pour regonfler sa verge. Avec sa bouche, ses mains, ses fesses, ses seins... et même ses pieds ! Là, toujours les yeux bandés, elle dansait devant le lit, pour allumer mon patron dont les commentaires graveleux fusaient : « Ondule ton corps grosse pute ! Oui, tu es une pute, et oui, tu es grosse. C’est fini la mode pour toi, tu es maintenant dans cette catégorie qu’on ne mate pas, mais qu’on baise, alors fais-moi bander si tu veux encore servir à quelque chose ! » Ma femme s’activait. Et moi qui n’agissais pas, mais qui me rinçais l’œil. Je bandais comme un âne, à la vue de ma femme entièrement soumise aux désirs de ce mâle en rut. J’adorais voir ça, en réalité. Je ne souhaitais plus mettre tout cela en péril en les surprenant, et je quittai l’appartement discrètement. Je revins à une heure plus tardive, pour trouver encore ma femme, exténuée. Mais alors qu’elle allait se coucher, moins de deux minutes après mon arrivée, comme tous les jours du lundi au vendredi, depuis dix jours, je me fis la réflexion qu’après tout, elle était aussi ma femme à moi, et que j’avais droit moi aussi à ce corps que je chérissais. Je la retins donc par le bras, et entamai quelques caresses qu’elle repoussa. « Je t’en prie Arnaud, pas ce soir, je suis crevée, me dit-elle en réponse à mon insistance. — S’il te plaît, lui répondis-je, j’ai besoin de ton corps, et toi aussi, j’imagine que depuis le temps... mentis-je, sachant pertinemment qu’une heure avant, elle en prenait plein la ...
«1234»