1. Une soumise peut en cacher une autre... (2)


    Datte: 21/12/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... pièce sans discuter. Tu oublies ce second chèque. » Je reçus un chèque de 5 000 euros. « Je vous avais pourtant bien dit que c’était fini les primes, à moins que cela ne soit réellement la valeur que vous donnez à mon travail... — Je ne donnerai pas un centime de plus pour ton boulot, le cocu. — C’en est fini du cocu, mais alors, c’est quoi ce chèque ? — Regarde-le en détails, abruti. » Le chèque était à l’ordre de Lucie Lesieur. Ma femme. Et plus surprenant encore, le débiteur n’était pas le compte de l’entreprise, ni le compte personnel de Marc. Non, ce chèque provenait d’une société nommée « La fabrique à S. ». qepqyybj « La fabrique à S. ? Mais c’est quoi ? lui demandai-je. — Disons que c’est ma petite société de photographie de mode. Une mode bien à moi, mais une mode quand même... Ahhhh... en tout cas j’ai passé un super séminaire à... Montpellier ! » Le rapprochement était vite fait. Je courus à l’appartement, retrouver ma femme qui devait justement rentrer de son shooting à... Montpellier. Je ne pouvais me résoudre à croire ce que je craignais pourtant avec force. Une fois rentré, je pris ma femme dans mes bras, elle avait les larmes aux yeux et n’osait croiser mon regard. « Comment était ton shooting, ma chérie ? lui demandai-je, dans un dernier espoir de m’être complètement trompé. » Elle ne sut articuler le moindre mot, si ce n’est un inaudible : « Je suis désolée. — Désolée pour quoi ? Et peux-tu m’expliquer ça ? exigeai-je, en lui tendant le chèque que Marc ...
    ... m’avait donné. » Elle remonta sa jupe, laissant apparaître le haut de ses bas couture, la chair de ses cuisses, un porte-jarretelles, et une absence totale de culotte, pas même un string. « Mais depuis quand tu portes ce genre de fringues, tu as décidé de chang... oh la vache !! m’interrompis-je. C’est quoi ça ?!? » Sur sa fesse, une marque, apparemment au fer rouge, était bien visible. On pouvait y lire : « Propriété de La Fabrique à soumises, marque déposée ». La Fabrique à Soumies... La fabrique à S., c’était limpide. Ce connard de Marc était allé trop loin ! « On va l’attaquer en justice ! Comment a-t-il pu te tendre un piège aussi tordu, ma chérie ? — On ne peut rien faire, me répondit-elle. J’ai... j’ai signé pour ça. » Elle me montra une copie d’un contrat signé de sa main et de celle de Marc, stipulant qu’elle acceptait de devenir la propriété de La Fabrique à Soumises, scellant son appartenance par la marque au fer rouge. « Oh mon Dieu ! Mais comment as-tu pu accepter ça ? — C’est trop dur, s’il te plaît, ne me pose pas de questions. Je t’aime, sache-le, essaya-t-elle de se justifier. — Mais pourquoi avec lui ? Il suffit de me parler de tes fantasmes, je suis là, je peux les assouvir moi aussi. — Mais il bande, lui !!!! -... » Un blanc inonda la pièce, suite à ce cri du cœur de Lucie, qui finit par reprendre : « Il bande, il jouit, il rebande, j’ai chaque jour autant d’orgasmes que durant la totalité de notre relation à toi et moi. — Mais il te traite comme une putain, ...