1. Une soumise peut en cacher une autre... (2)


    Datte: 21/12/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... chatte. — Non, je te jure que ça va. Laisse-moi aller me coucher s’il te plaît. — Mais moi aussi j’ai le droit de te baiser ! lâchai-je sans réfléchir. — Comment ça, toi aussi ? me rétorqua-t-elle, les joues soudainement rouges. — Je sais tout pour Marc, lui répondis-je, ne pouvant plus faire machine arrière. » Puis l’entraînant dans la chambre et la poussant sur le lit, je compris face à son peu de résistance qu’elle ne souhaitait plus me contrarier. Et comme depuis dix jours et ma découverte de ses parties de jambes en l’air avec mon chef, je bandais de nouveau, elle allait vite se rappeler au vieux souvenir de nos premiers ébats. Pourtant, impossible d’avoir ne serait-ce qu’un début d’érection. Je me concentrai autant que possible sur son corps, mais rien n’y faisait. J’étais toujours aussi impuissant... et tout tombait à l’eau. Je me permis tout de même, avant de dormir, une question qui me taraudait depuis trop longtemps : « Chérie, pourquoi ? Pourquoi Marc ? — C’est pour nous, pour toi que je fais ça. Tu l’ignores sûrement, mais tu n’aurais pas de telles primes si... — Je ne veux plus de ces primes, pas comme ça. Tu n’as pas à faire ça mon amour. Promets-moi d’arrêter, et nous verrons bien ce que nous pourrons faire avec Marc. Je vous ai filmés cet après-midi. Je ferai pression sur lui, je trouverai un moyen. Jure-moi que tu vas y mettre fin. — Je le jure, me répondit-elle. » Je lui ferais confiance, comme toujours, car cette tromperie était son seul mensonge depuis ...
    ... notre rencontre, et elle l’avait fait à contrecœur. Le lendemain matin, j’allai voir Marc dans son bureau et lui déballai la vidéo, sous son nez. « C’est fini Marc. Désormais, vous ne verrez plus ma femme. — Depuis quand m’appelez-vous Marc ? C’est Monsieur. Comme pour tous les autres employés. Quant à cette vidéo, on n’y entend aucune allusion aux primes. Nous n’y voyons donc qu’une femme qui trompe son mari. Vous, son cocu de service. Alors allez-y, dévoilez-la à vos collègues de bureau, je ne vous en empêche pas. — Ordure ! Vous ne toucherez plus à ma femme. Et je dis merde à vos primes ! — Entendu le cocu. Va bosser maintenant, comme un bon petit pantin sous-payé que tu es ! » Je quittai la pièce, heureux d’avoir mis fin à la relation de ce connard avec ma femme. Tant pis pour les primes. On vivait très bien sans. La fin du mois arriva très vite. Ma femme avait très bien su gérer ma perte de revenu, puisqu’elle avait décroché de nombreux et inespérés contrats pour des shootings photo, dont un sur une durée de cinq jours, à côté de Montpellier. J’étais fier d’elle. Elle avait totalement remonté la pente, et moi aussi par la même occasion, en moins de trois semaines. Marc venait tout juste de rentrer d’un séminaire qui avait duré toute la semaine, et il me fit venir dans son bureau, pour me donner mon chèque de fin de mois. Sans surprise, j’étais retombé sur mon modeste salaire de base, pas un centime de plus. « Attends un peu, m’interpella-t-il alors que j’allais quitter la ...