1. Fessée interdite


    Datte: 22/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Humour,

    Si vous suivez l’actualité, vous savez déjà que la proposition de loi qui interdit la fessée (« les v******es éducatives ordinaires ») vient d’être adoptée il y a quelques jours. Dommage ! Je me souviens…J’avais dix-huit ans, et j’étais un garçon très timide. Au cours d’une réunion de famille, ma mère m’a appelé et m’a demandé :— Stéphane, s’il-te-plaît mon chéri, tu peux de déshabiller complètement ? Car vois-tu, je vais t’infliger une fessée.— Mais, Maman, pourquoi ?— Parce que cela m’amuse, mon trésor, tout simplement ! Et puis, ta tante Catherine aimerait bien te voir tout nu, et je lui ai promis qu’elle aurait l’occasion de te voir exhibé, aujourd’hui.J’adorais ma mère et j’aurais tout fait pour elle. Mais là, elle brimait vraiment ma pudeur : m’obliger à me mettre à nu au cours d’une réunion familiale ! Mais j’ai quand même obéi, même si je trouvais cela très intimidant. Ma mère m’a aidé à retirer mon slip en l’abaissant elle-même, parce que j’ai eu un blocage psychologique à cause des regards féminins qui m’entouraient. Ma cousine Daphné, qui était si belle et si désirable avec sa petite robe décolletée et son serre-tête sage que contredisait son sourire coquin, me troublait : cela paralysait mes gestes. Maman s’est impatientée.— Stéphane, si tu ne te mets pas nu tout de suite, tu auras une double fessée !Daphné a eu ce petit rire moqueur que je connaissais bien. Elle avait le même âge que moi et ne se séparait jamais de sa grande sœur, Léa, qui était de deux ans son ...
    ... aînée. Les deux filles ne me quittaient pas des yeux et leurs regards étaient gourmands de me voir humilié en public. J’aurais préféré me trouver cent pieds sous terre. Mais, sans avoir mon mot à dire, j’étais nu en face de toute ma famille réunie. Au début, j’ai voulu cacher mon intimité avec mes mains, mais ma mère m’en a empêché en me contraignant à garder mes bras le long du corps. Elle jubilait et je crois que son rire ressemblait à celui d’un orgasme sadique. J’aimais tellement ma maman que j’étais prêt à tout souffrir pour qu’elle soit contente.La dernière barrière de ma pudeur m’a donc été retirée. Pour comble de mon embarras, je portais une cage pénienne qui emprisonnait ma verge. Ma mère a expliqué que cela servait à m’empêcher de me masturber ; autrement je me caressais tout le temps, ce qui risquait de faire baisser mon acuité auditive.— Toute en inox, elle n’est pas donnée, mais au final, c’est un très bon investissement, a-t-elle précisé. Elle rend les garçons très dociles, grâce à la frustration.Je confirme. Tout début d’érection me causait une douleur insupportable, en comprimant ma verge. Cette maudite cage m’a plus d’une fois rendu fou de désir, au point que je suppliais ma mère à genoux, en lui bécotant les pieds, de me permettre de la retirer ne serait-ce que quelques minutes. Parfois, à force de larmes, elle finissait par céder, mais en échange, je devais passer des heures à lui sucer avec amour l’anus, le clitoris, l’entrée de son vagin, les orteils, ou ...
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