1. Fessée interdite


    Datte: 22/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Humour,

    ... envie de me faire pleurer afin de me ridiculiser en public. J’ai entendu son rire, un rire que je connaissais bien. Elle a dû éprouver un orgasme sadique en me fessant. Je l’ai sentie frémir d’une manière caractéristique, et je percevais une odeur de mouille qui imprégnait sa culotte. D’ailleurs, elle me fessait d’une main et se touchait discrètement le clitoris de l’autre. Cela m’excitait beaucoup quand elle jouissait en me punissant, même si la punition n’était méritée par aucune faute. Puis je me suis relevé.Plus que jamais, mon pénis indiquait midi. Les deux cousines étaient très amusées de ce détail. Elles ont demandé à leur mère, Catherine, si elles pouvaient me tripoter, car si la lycéenne et l’étudiante ne jouaient plus à la poupée, c’était parce qu’elles avaient trouvé d’autres jouets bien plus amusants : la virilité des garçons timides.— D’habitude, a dit Maman, Stéphane se masturbe après sa fessée, parce que ça l’excite. Il ne fait devant moi, ce cochon, et c’est tout juste s’il n’essuie pas sa semence sur un pan de ma robe. Toi, Catherine, tu n’as pas de garçon : tu ne sais pas ce que c’est d’en avoir.Puis, en s’adressant aux deux sœurs libertines :— D’accord, vous pouvez vous amuser autant que vous voulez. Je vous prête Stéphane : il est votre jouet. Mais vous passerez à table quand ce sera le moment, d’accord ?— Oui, Tata, ont-elles répondu en cœur. Mais on voudrait savoir : combien il mesure ?— La taille de sa bite, vous voulez dire ? Je ne sais pas, cela fait ...
    ... longtemps que je n’ai pas mesuré. Tenez, passez-moi cette règle graduée, sur l’étagère. C’est une bonne idée que vous avez eue là.Quatre paires d’yeux féminins étaient braquées si près de mon anatomie intime que je sentais les souffles chauds sur mon sexe tendu. Elles ont pouffé en entendant le résultat, qu’elles ont noté dans un petit carnet, d’une écriture serrée qui enregistrait toutes sortes de considération sur les garçons qu’elles croisaient, et j’ai eu droit à leurs commentaires éclairés : mieux que Untel, moins bien que l’autre.— Mon pauvre Stéphane, depuis le temps que tu n’as pas pu te branler, elles doivent être gorgées de sperme, a dit Daphné en tapotant douloureusement mes testicules avec la règle graduée.Elle avait raison : j’étais prêt à exploser à tout moment. La petite vicieuse tenait son instrument d’une main de maîtresse.— Il fait tout chaud là-dedans, a renchéri Léa en fourrant son index dans mon anus. La rosette doit être toute sensible, avec l’abstinence. Et la prostate est bien remplie, a-t-elle complété en connaisseuse, car elle était étudiante en médecine.Effectivement, elle me pressait si bien cet organe interne que du liquide s’échappait par ma verge qu’elle se gardait bien de toucher, afin de frustrer le besoin d’éjaculer qu’elle suscitait. Je n’allais pas tarder à apprendre qu’elle connaissait beaucoup d’autres cruautés à l’égard des jeunes mâles dociles comme moi, et qu’elle était passionnée par cette pratique. Par la suite, une fois son doctorat ...